Elle avait l’image d’une tendre époque
Finissant aussi son entretien à celle des phoques
Adossée à même la tête égarée par de syllabe souvenir
- J’en rit ! se disait-elle maintenant voilà derrière est le pire
De vague maison intouchable du décor meurtris
Elle épaissit ses mots de sourd espoir au-dedans mis
Déferlante cruauté elle se dit alors Stop
- Stop de ne film de mes rêves !
La vie ainsi consumée à pas journalier
Elle se halte net d’une décision à la hâte prise
Haut sera donc le bas éphémère d’une terrible illusion dévoilée
- Qu’attendons nous, en soupir et ils, au large du pavillon échoué ?
- Sonnons le glas de notre fin prématurée !
- Là où tombent, meurent et renaissent les graines de nos pas énoncés !
- Accostons nous, et eux, chacun au devant de sa destinée écrite !
- De là, voyons enfin le haut de nos vaines effort.
Puis le silence souffle…
A l’abordage de ses souhaits écrits à l’encre de ses vœux
Elle vit la vie complexe s’articulée dans le sens non désiré
Il est temps pour elle de s’afficher belle au miroir distrait
En attendant, elle peaufine ses pas tête baissée au noir levant
Avant que cela ne se complique par esprit revanchard
Elle préfère donc l’oubli à l’ennui d’aimer moins bien le soir tard
Avant elle était heureuse, moins peureuse, mais toute tranquille
Maintenant elle se comble de laide béquille
Par la faute de ceux qui prennent la quille
Laissée tombé au milieu d’une quelconque triste ville