Lentement, partaient, les défunts, vers l'oubli
Et, profondément attristées, les âmes, derrière
Les circonstances leur rendant l'existence amère,
Arrosaient impunément leurs regrets sans bruit.
Constamment, revenait, les éveiller d'un cri…
Le geignement précédant la fin minaudière,
De leurs égarements, sur leurs froids lits de mère,
Et tristement elles vidaient ce rappel, d'appui…
Dûment l'absence s'étendait entre les jours
Couvrant les saisons qui refaisaient des tours
Autour des rangs que vidait lentement la mort ;
Et indûment nous oubliions : dehors leurs images,
Leurs serments et leurs souffrances sur nos pages,
Leurs efforts et leurs erreurs derrière le tort.
je suis de retour moi farid khenat.

hommage à mes adversaires en sonnet. par moi farid khenat
#1
Invité_khenatermite_*
Posté 27 décembre 2007 - 02:25
#2
Posté 14 février 2008 - 12:30
non ! vous n'offrirez pas mes écrits à eve ou à quelqu'un d'autre. désolé !
Lentement, partaient, les défunts, vers l'oubli
Et, profondément attristées, les âmes, derrière
Les circonstances leur rendant l'existence amère,
Arrosaient impunément leurs regrets sans bruit.
Constamment, revenait, les éveiller d'un cri…
Le geignement précédant la fin minaudière,
De leurs égarements, sur leurs froids lits de mère,
Et tristement elles vidaient ce rappel, d'appui…
Dûment l'absence s'étendait entre les jours
Couvrant les saisons qui refaisaient des tours
Autour des rangs que vidait lentement la mort ;
Et indûment nous oubliions : dehors leurs images,
Leurs serments et leurs souffrances sur nos pages,
Leurs efforts et leurs erreurs derrière le tort.
je suis de retour moi farid khenat.
c'était moi farid khenat partout.