Dessous tes plis, vieillirait bien ta crainte ;
Reviendrait mourir sous ton if, de tristesse,
La vieille colombe qui parrainait ta liesse,
De quiétude, d'innocence et d'étreinte ointe.
Mourrait lentement, l'armoise la plus peinte
Sous les moiteurs des vents, de sécheresse ;
S'acéraient vite, les ronces devant l'adresse
Des vents, voletant sans pennes et sans teinte.
Les fleurs aussi embellissaient le printemps
Et ne se refermaient ni sur les dards piquants
Des abeilles les désemplissant de leurs sèves,
Ni sur les rostres leur vidant leurs couleurs :
Je ne voyais sur mes chemins que des élèves
Femmes qui ne voulaient pas grandir, de peurs.
farid khenat.
erreur ! je n'ai jamais fait équipe avec akli le menteur. c'est faux.