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l'automne n'est jamais peintre. reposte. moi farid khenat


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#1 Invité_khenatermite_*

Invité_khenatermite_*
  • Invité

Posté 07 janvier 2008 - 06:48

La sternutation de l'hiver devant les vents
Faisait rire le printemps gesticulant devant
L'ire de la passion que perdait l'innocence…
Derrière les bourdes du dernier concurrent,
La laissant nue sous le toit des morts vivants.

Le silence des morts satisfaisait le troupeau…
Que libérait la nuit derrière son noir rideau,
Et lentement, il comblait sa courte absence
Pour y rester tout autour du vieux flambeau
Jusqu'à sa dyspnée, errant, loin de ses rivaux.

Le soleil, comme il est l'ennemi de l'hiver,
Il est aussi l'ennemi de la nuit et ses compères
Et loin d'eux, il se laissait gire avec son attirance
Pour revenir réchauffer le printemps, derrière
Les câlins que lui faisait l'aube avec art et manière.

Le temps avec les costumes et les robes qu'il portait
Chaque matin devant la dame nature qui le vêtait
Ne gardaient pas leurs couleurs et leurs luminances ;
Les liciers les réalisant pour lui rendre son attrait
Il les tuait à la fin pour se vanter encore devant l'été.

C'est ce qui fait rire le printemps gesticulant devant
La sternutation de l'hiver sous les rafales des vents.
C'est cette ire qui fait perdre la passion à l'innocence…
Derrière ses bourdes et celles du dernier concurrent,
La laissant nue sous le toit du défunt qu'elle croyait vivant.



moi farid khenat.

je ne suis pas un fun de dalida. désolé !