Que se brise le mur du silence
Aux brumes livides sonnant le glas
En dépit de résumer quelques chapitres
J'écrirai ton ombre vascillante le jour
Abdiquant la nuit dans un élan
Aux tons d'Orient
Des berges de nuits meurtrières
Les -coûts- de pioches exténuées
La terre rendue se plie à nos corps fatigués
S'achève une page en automne vers les frontières
Soulevée par le vent et peuplée de longs fossés
A l'aube
Agenouillée sur la parure du temps
Je porterai au lavoir
Les traces souriantes de ton sang
Seul
Miroir radieux du bonheur d'avoir
Blanc
Se balance
Dans ma chambre
Hors du cadre
L'émergence d'un deux-mains

Un sourire.
Débuté par .ds., janv. 07 2008 09:16
4 réponses à ce sujet
#1
Posté 07 janvier 2008 - 09:16
#2
Posté 07 janvier 2008 - 11:54
Nostalgique,
Absurde surdité
De l'attente
Beau poème !
bibi 2008
Absurde surdité
De l'attente
Beau poème !
bibi 2008
#3
Posté 08 janvier 2008 - 04:50
Fascination
C'est le mot qui me vient
Bravo!! Merci
C'est le mot qui me vient
Bravo!! Merci
#4
Posté 08 janvier 2008 - 04:59
ni les coeurs ni les murs ne resistent au temp
les traces souriantes ou pas , se balancent d'une frontiére a l'autre
le bonheur ,lui, est comme un pigeon ,pour l'approcher il faut aller trés doucement , si non ,il s'envole.
au plaisir de te lire.
les traces souriantes ou pas , se balancent d'une frontiére a l'autre
le bonheur ,lui, est comme un pigeon ,pour l'approcher il faut aller trés doucement , si non ,il s'envole.
au plaisir de te lire.
#5
Posté 08 janvier 2008 - 08:51
j'ai horreur des échanges de politesses peu sincères,
mais ce poème est trés trés beau.
mais ce poème est trés trés beau.