
Le Fou
#1
Posté 14 janvier 2008 - 01:10
Tout ce mouvement qui le refoule
Dans la prison de sa raison,
La nuit, son unique maison
Qui le garde, le tient, l'emmure.
Malgré ses cloisons de songes,
Cette forteresse est si sure
Que nul être ne s'y plonge.
La solitude, l'effroi, les pleurs,
Forment sa vie, toute de malheur.
Détresse immense, tristesse toujours
Et l'envahit ce grand mal sourd.
Mais, doucement, calmé enfin,
Il s'apaise et sombre son chagrin.
#2
Posté 14 janvier 2008 - 10:38
La rue, les gens, le bruit, la foule, Tout ce mouvement qui le refoule Dans la prison de sa raison, La nuit, son unique maison Qui le garde, le tient, l'emmure. Malgré ses cloisons de songes, Cette forteresse est si sure Que nul être ne s'y plonge. La solitude, l'effroi, les pleurs, Forment sa vie, toute de malheur. Détresse immense, tristesse toujours Et l'envahit ce grand mal sourd. Mais, doucement, calmé enfin, Il s'apaise et sombre son chagrin.
''Le fou a tout perdu sauf sa raison '' disent les philosophes. Peut-être qu'un vrai fou nous voie tous fous. La folie finalement est relative . Amicalement Nacer.
#3
Posté 14 janvier 2008 - 02:44
''Le fou a tout perdu sauf sa raison '' disent les philosophes. Peut-être qu'un vrai fou nous voie tous fous. La folie finalement est relative . Amicalement Nacer.
Merci Nacer, de ton passage, le fou est-il si fou, après tout...tu as raison, amitiés, miklo