4 réponses à ce sujet

[iahhel]

A l'instant où j'écris ses lignes,
mon coeur saigne d'une encre rouge,
indélébile.
Une plaie béante s'est ouverte
sur l'avenir incertain ;
sur ce passé qu'on a rapiécé,
par cet amour éffiloché...

L'hémorragie est telle
que je n'sais pas où elle s'arrêtera.

Elle s'écoule sur ce parchemin,
où trébuchent ces maux,
ces mots d'amour,
qui s'effeuillent
d'une journée d'automne,
Comme un ver rongerait le fruit
de tes non-dit, fanant l'amour...

Depuis,
l'ombre prend le pas sur la lumière,
à chaque mot que tu retiens,
à chaque phrase que tu effaces !

J'ai froid...
Et cette sensation,
qui me glace jusqu'en mon sang,
ce crépuscule,
d'une aube se couchant sur mes lendemains,
laisse en moi un parfum de dégout,
une question, sans réponse...
Pourquoi ?


iah-hel copyright 2007

[au fil des mots]

A l'instant où j'écris ses lignes,
mon coeur saigne d'une encre rouge,
indélébile.
Une plaie béante s'est ouverte
sur l'avenir incertain ;
sur ce passé qu'on a rapiécé,
par cet amour éffiloché...

L'hémorragie est telle
que je n'sais pas où elle s'arrêtera.

Elle s'écoule sur ce parchemin,
où trébuchent ces maux,
ces mots d'amour,
qui s'effeuillent
d'une journée d'automne,
Comme un ver rongerait le fruit
de tes non-dit, fanant l'amour...

Depuis,
l'ombre prend le pas sur la lumière,
à chaque mot que tu retiens,
à chaque phrase que tu effaces !

J'ai froid...
Et cette sensation,
qui me glace jusqu'en mon sang,
ce crépuscule,
d'une aube se couchant sur mes lendemains,
laisse en moi un parfum de dégout,
une question, sans réponse...
Pourquoi ?


iah-hel copyright 2007

Les émotions , fort bien retranscrites, sont fortes et terrifiantes,
je me suis laissée emportée, le temps de la lecture, par cet élan de tristesse et d'amertume.

amicalement

monique

[CELUI QUI SAIT]

A l'instant où j'écris ses lignes,
mon coeur saigne d'une encre rouge,
indélébile.
Une plaie béante s'est ouverte
sur l'avenir incertain ;
sur ce passé qu'on a rapiécé,
par cet amour éffiloché...

L'hémorragie est telle
que je n'sais pas où elle s'arrêtera.

Elle s'écoule sur ce parchemin,
où trébuchent ces maux,
ces mots d'amour,
qui s'effeuillent
d'une journée d'automne,
Comme un ver rongerait le fruit
de tes non-dit, fanant l'amour...

Depuis,
l'ombre prend le pas sur la lumière,
à chaque mot que tu retiens,
à chaque phrase que tu effaces !

J'ai froid...
Et cette sensation,
qui me glace jusqu'en mon sang,
ce crépuscule,
d'une aube se couchant sur mes lendemains,
laisse en moi un parfum de dégout,
une question, sans réponse...
Pourquoi ?


iah-hel copyright 2007

Patchwork de notre Amour,tribulations,
Dans un devenir qui se dessine incertain,
Oubliant toutes caresses de nos mains,
Résurrection voulue avant la rédemption,
L'art et la manière de vouloir se mettre,
Charrue avant les boeufs sur un champ,
Stérilité d'une terre où s'érige notre camp,
Eristique désir que vérité ne peut permettre.


Bonjour mon Ami.Parfois l'absence d'écriture a du bon.Amitiés.

[Lucretius]

C'est donc cela mourir d'amour, le chant du cygne ?