Lorsque le premier comparut
Par manque de mémoire
Par absence de preuves
Il vit son visage incomplet
Derrière l'étrange clarté
Tout n'était que désordre
Ondoiement
Il n'y vit pas de ressemblance
Et joua la sérénité
Alors le second dut paraître
D'une manière inoubliable
Et rendre sa liquidité
A ton regard
Dans un grand rassemblement
Mille visages
Mille masques
Poussés au fond des yeux

Poussés au fond des yeux
Débuté par Carla., janv. 16 2008 06:02
7 réponses à ce sujet
#1
Posté 16 janvier 2008 - 06:02
#2
Posté 16 janvier 2008 - 07:30
... solaire
#3
Posté 16 janvier 2008 - 10:15
magnfique chère amie !
#4
Posté 17 janvier 2008 - 09:49
Merci pour votre lecture. La surface et la profondeur, l'être et le paraître, voire le comparaître, c'est une histoire de masques, de personnalité. Peut-être qu'on s'y perd un peu, mais c'est un texte que j'ai pris plaisir à écrire.

#5
Posté 17 janvier 2008 - 11:09
si tu as eu du plaisir à l'écrire, moi j'ai du plaisir à le lire , beau travail intellectuel....
#6
Posté 17 janvier 2008 - 11:35
Merci jeune homme
Un texte peut-être moins spontané que d'habitude, c'est le cru 2008! Lol

Un texte peut-être moins spontané que d'habitude, c'est le cru 2008! Lol
#7
Posté 17 janvier 2008 - 01:09
Différent.
Tu es bien plus douée pour le spontané.
bibi
Tu es bien plus douée pour le spontané.
bibi
#8
Posté 17 janvier 2008 - 02:10
C'est intéressant aussi d'aller explorer d'autres voies...
