Devant l'accointance
Des luminances
Des ronces,
L'essence
Des fragrances,
Mouille son errance,
Et annonce
Sa présence en romance
Avec aisance,
Quand l'enfance
Morose, se balance
En tous les sens.
Sous les clameurs
Des premières heures,
Ses fleurs
Arborent les teneurs
De leurs bariolées couleurs,
Et vident lentement leurs peurs
Autour des lueurs
Leur rendant leurs heurs,
Sous l'œil du vieux coureur ,
Quand l'aube
Ramasse ses lobes,
Des seins du globe,
Qui imbibe sa belle robe
Sous la brise qui dérobe,
Des rafales des vents probes,
Quelques sueurs snobes,
Pour caresser les dures jambes
De l'été hydrophobe.
Le muguet de mai
Périssait
Sous les moiteurs de l'été ;
La rose déclose peinait
Lentement devant la sagacité
Des rayons feutrés
Qui revenaient lui vider son entité,
Sa fragilité, sa qualité
Et sa quantité de baume trempé.
Sous son doux ton,
Refaisait lentement
Ses acquiescements
Pour parrainer son autre saison,
Le printemps.
L'été aux devant
Des rangs ardents
Rampait lentement
Et laissait quelques roses souvent
Vieillissantes au pot du temps.
La jouvence
Est une romance
Pleine de belles nuances ;
L'errance
Est une fronce
Qui nous offre que fragrances
Et je dénonce sa présence
Entre les nuances
Des romances
Qui parlent de ronces,
De brillance et d'enfance
Pleine de sens.
farid khenat
Sur le cul de lucrétius s'ouvre un grand anus.