Quelques griffonnages
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Le train de la vie</H1>
Le train de la vie, c'est un petit train, qui va des montagnes de l'ennui aux collines de la joie
Gilbert Bécaud
Il y en a qui dise que la vie est un train
Moi je l’ai toujours vu comme un bus
Quoique je n’ai pas encore pris le bon
Car j’attends encore même au terminus.
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Qu’écriras-tu ce soir ?</H1>
Qu'écriras-tu ce soir, mon âme
Toi qui à peine il y a deux jours tu étais calme
Qu'écriras-tu ce soir, mon cœur,
Toi qui à peine il y a deux jours tu étais bonheur,
Qu'écriras-tu ce soir ma plume
Toi qu'il y a un moment tu as oublié les rimes
Que diriez-vous ce soir, Ã mon prince de gloire
Au plus beau, au plus merveilleux, au plus cher,
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Je t’attends</H1>
Une nuit sans sommeil,
Une nuit où j’ai préféré l’éveil,
Pour fuir mes pensées que tu as dérobées
Pour chasser cette soif de toi bornée
Pour plonger dans mes rêves couleur de ciel
Et pour lutter contre cet émoi de fiel
Toi, cet inconnu
Qui sans aucune raison m’a fait perdre la raison
Qui implore cette flamme dolente ?
À mon âme et corps, audacieux et insolents
Et la fatigue continue, et la douleur infinie
Pour que tu m’entendes
Mes mots s'affaiblissent parfois
Mais de tous les mots de la terre
Je n’ai crié que « je t’attende » et je suis fiére
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Toi </H1>
Toi qui suis loin de ma perception,
Et toute ma conception,
De l'homme que je cherche,
Avec foi mais ne trouve pas, je lance une perche,
Au sieur destin et sait ma foi que bonne,
Il est envers moi quant au son,
Des voix divines qui chantent tes louanges,
Je les crois sincères connaissant,
Mon besoin de me rassurer dans ma quête,
De toi, Homme tout en langes ;
Je suis la mère pétrissant,
La levure que tu es, Roquette,
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Toi l’homme de ma vie</H1>
Tu émouvras un mort
Et comment veux-tu que je ne sois pas ému ?
Tu as un pouvoir d’attirer les plus perfides
Et comment veux-tu que je ne sois pas attirée ?
Tu es l’homme qui me comprend,
M’écoutes, me fais confiance,
Je t’ai montré le fonds du sac
Et par ce que tu es brave
Et plein de bonnes choses,
La poussière n’a pas pu te toucher à la gorge.
<H1 style="MARGIN: 12pt 0cm 3pt">Si ……….</H1>
Si, une forme de condition
Ou une note de musique
Qui laisse place à la vibration !
Ces deux lettres qui tranchent
Entre le doute et l’indécision
Ou cette mélodie qui nous laisse
En admiration
S, comme sidérer ou bien soumission
I, comme imaginer ou interdiction.
Ce que l’on voit n’est pas ce que l’on croit
Ce que l’on voit n’est pas ce que l’on croit
Et ce qu’on croit n’est pas ce que l’on voit
Les poètes ne sont pas tous des romantiques avérés
Les philosophes ne sont pas tous des sages et raisonnés
Les gourous ne détiennent pas tous la vérité
Les médecins ne guérissent pas toutes les maladies