Attention, cet événement est annulé.
Jeudi 17 mai à 18h - Librairie du Rond-Point
Théâtre du Rond-Point
2bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris
Métro Franklin D. Roosevelt
Catherine Gil Alcala présentera ses textes de théâtre publiés aux éditions La Maison Brûlée : Zoartoïste, La Tragédie de L'Âne, Les Farces Philosophiques, James Joyce Fuit...
Lecture : Claire Guillon, Stefanie Buard, Claude Barraud, Édouard Bueno, Catherine Gil Alcala.
« Le tragique parle à l'immensité qui se révèle être le plus intime…
Comme chuchoter à l'oreille d'un dieu... ou parler au lointain passé qui se tient derrière les paupières fermées.
Nous rêvons le monde autant que nous le vivons.
J'ai toujours vécu le théâtre comme le lieu de la transe. »
La presse en parle :
... Oui, nous sommes bien dans un théâtre de chair, dans une création organique dont la langue est le mouvement de macération, qui se trouve en phase avec des forces dionysiaques, ivres, Ménades qui courent et se défont, dans une sorte de tragédie eschylienne… D. Ayres, La Cause Littéraire
Cosmogonie individuelle, l'inspiration de Catherine Gil Alcala est de ces aérolithes mentaux où notre réalité se retrouve métamorphosée par le souffle protéiforme d'une pensée magique... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire
... Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers... M. du Crest, La Cause Littéraire
Délire, transe, poésie exorcisante ou exutoire théâtral, Catherine Gil Alcala revient à la source même du cri qui génère toutes les béances jusqu'à faire parler ou hurler les bouches d'ombre qui hantent nos nuits. F. Urban-Menninger, Exigence : littérature
Pythie au verbe noir et flamboyant, elle pousse les mots à leur paroxysme pour nous faire basculer de l'autre côté, du côté du grand rire salvateur, où rien n'est sérieux, tout est primordial. Cathy Garcia, La Cause Littéraire
...un travail du langage, comme un travail de forge, mais aussi avec finesse, comme un théâtre de souffleur de verre... D. Ayres, Reflets du Temps
... l'enjeu d'une telle création autour de la question du langage où nous passons derrière le miroir... Où la question du sens et du non-sens se pose corrélativement à celles sur la relation entre théâtre et poésie, philosophie et littérature... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire
Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com
On n'a probablement pas lu quelque chose d'aussi fantaisiste depuis Novarina, on n'a pas lu quelque chose d'aussi éclaté depuis Heiner Müller. C'est radical, un peu dans l'esprit d'Artaud, on a quelque part Artaud aussi dans le titre. Ça défie l'imagination. Thomas Hahn, Émission Tempête sur les planches
... un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... D. Ayres, Reflets du Temps
Revue de presse Catherine Gil Alcala : www.lamaisonbrulee.fr/presse
Catalogue : www.editionslamaisonbrulee.fr
Librairie du Rond-Point : www.facebook.com/Librairie-du-Rond-PointActes-Sud-196678584144638/