Aller au contenu

Photo

Rencontre lecture avec Catherine Gil Alcala

théâtre poésie Rond-Point Catherine Gil Alcala tragédie farces james joyce lecture paris 8

  • Veuillez vous connecter pour répondre
1 réponse à ce sujet

#1 La Maison brûlée

La Maison brûlée

    Tlpsien +

  • Membre sympathisant
  • PipPip
  • 16 messages

Posté 25 avril 2018 - 05:54

Attention, cet événement est annulé.

 

Jeudi 17 mai à 18h - Librairie du Rond-Point

 

Théâtre du Rond-Point

2bis, avenue Franklin D. Roosevelt 75008 Paris

Métro Franklin D. Roosevelt

 

Catherine Gil Alcala présentera ses textes de théâtre publiés aux éditions La Maison Brûlée : Zoartoïste, La Tragédie de L'Âne, Les Farces Philosophiques, James Joyce Fuit...

 

 

couvertures-theatre-enligne.jpg

 

 

Lecture : Claire Guillon, Stefanie Buard, Claude Barraud, Édouard Bueno, Catherine Gil Alcala.

 

« Le tragique parle à l'immensité qui se révèle être le plus intime…

Comme chuchoter à l'oreille d'un dieu... ou parler au lointain passé qui se tient derrière les paupières fermées.

Nous rêvons le monde autant que nous le vivons.

J'ai toujours vécu le théâtre comme le lieu de la transe. »

 

La presse en parle :

 

... Oui, nous sommes bien dans un théâtre de chair, dans une création organique dont la langue est le mouvement de macération, qui se trouve en phase avec des forces dionysiaques, ivres, Ménades qui courent et se défont, dans une sorte de tragédie eschylienne… D. Ayres, La Cause Littéraire

 

Cosmogonie individuelle, l'inspiration de Catherine Gil Alcala est de ces aérolithes mentaux où notre réalité se retrouve métamorphosée par le souffle protéiforme d'une pensée magique... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire

 

... Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers... M. du Crest, La Cause Littéraire

 

Délire, transe, poésie exorcisante ou exutoire théâtral, Catherine Gil Alcala revient à la source même du cri qui génère toutes les béances jusqu'à faire parler ou hurler les bouches d'ombre qui hantent nos nuits. F. Urban-Menninger, Exigence : littérature

 

Pythie au verbe noir et flamboyant, elle pousse les mots à leur paroxysme pour nous faire basculer de l'autre côté, du côté du grand rire salvateur, où rien n'est sérieux, tout est primordial. Cathy Garcia, La Cause Littéraire

 

...un travail du langage, comme un travail de forge, mais aussi avec finesse, comme un théâtre de souffleur de verre... D. Ayres, Reflets du Temps

 

... l'enjeu d'une telle création autour de la question du langage où nous passons derrière le miroir... Où la question du sens et du non-sens se pose corrélativement à celles sur la relation entre théâtre et poésie, philosophie et littérature... M. Compère-Demarcy, La Cause Littéraire

 

Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com

 

On n'a probablement pas lu quelque chose d'aussi fantaisiste depuis Novarina, on n'a pas lu quelque chose d'aussi éclaté depuis Heiner Müller. C'est radical, un peu dans l'esprit d'Artaud, on a quelque part Artaud aussi dans le titre. Ça défie l'imagination. Thomas Hahn, Émission Tempête sur les planches

 

... un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... D. Ayres, Reflets du Temps

 

Revue de presse Catherine Gil Alcala : www.lamaisonbrulee.fr/presse

Catalogue : www.editionslamaisonbrulee.fr

Librairie du Rond-Point : www.facebook.com/Librairie-du-Rond-PointActes-Sud-196678584144638/



#2 La Maison brûlée

La Maison brûlée

    Tlpsien +

  • Membre sympathisant
  • PipPip
  • 16 messages

Posté 08 mai 2018 - 02:35

Attention, cet événement est annulé.





Aussi étiqueté avec au moins un de ces mots-clés : théâtre, poésie, Rond-Point, Catherine Gil Alcala, tragédie, farces, james joyce, lecture, paris 8