
Lorsqu'enfin j'y suis
#1
Posté 21 janvier 2008 - 12:02
just'un égoïsme exacerbé
empli de douleur
lui-même
personne ne sait plus
Pour chercher
j'ai jeté les armes
le puit alimente encore
le fluide
pas un miroir
un Ami
Je ne suis plus.
L'amour me tue.
#2
Posté 21 janvier 2008 - 12:08
C'est tres beau !
Je suis cet Ami qui vit dans tes mots
Mais il ne faut pas que l'amour te tue ma Belle...
bibi 2008
#3
Posté 21 janvier 2008 - 03:39
#4
Posté 21 janvier 2008 - 06:50
bibi
#5
Posté 21 janvier 2008 - 08:52
Tu devrais jetter un coup d'oeil à mes poèmes et t'en inspirer
Wow, le mec ! Comment qu'il est sûr de lui, dis !
Je me sens toujours petit devant ces poètes-là ...
Mais j'ai sans doute tort
#6
Invité_Apocope_*
Posté 21 janvier 2008 - 09:23
on ne saurait vivre sans
alors??
Nous sommes faiseurs de mandragore
au gibet
étranglés par le temps
nous jouissons
et de notre semence
naissent des racines torturées
à forme humaine
Au bal du temps perdu
Eros et Thanatos
entament la danse
au bal du temps vaincu
pourquoi faire tapisserie
au bal du temps du cul
l'extase
aveugle
#7
Posté 21 janvier 2008 - 11:36
l'amour tue parfois oui bon...mais l'amour fait revivre aussi....
#8
Invité_Nono59_*
Posté 21 janvier 2008 - 11:47
Rien ne luis
just'un égoïsme exacerbé
empli de douleur
lui-même
personne ne sait plus
Pour chercher
j'ai jeté les armes
le puit alimente encore
le fluide
pas un miroir
un Ami
Je ne suis plus.
L'amour me tue.
Dans ces moments là ...nul besoin de commentaires.
Que la journée te soit douce.
A.
Nono
#9
Posté 21 janvier 2008 - 01:28
Rien ne luis
just'un égoïsme exacerbé
empli de douleur
lui-même
personne ne sait plus
Pour chercher
j'ai jeté les armes
le puit alimente encore
le fluide
pas un miroir
un Ami
Je ne suis plus.
L'amour me tue.
L’Amour tue, oui il tue : lorsque les amoureux s’aiment, ne se font-ils pas des déclarations à mourir, et ne prononcent-ils pas des phrases à tuer ? : Je t’aime à mourir, je meurs d’amour pour toi, etc...
Jacques Brel dans toute sa splendeur chantait :
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
Amitiés
Sanaa
#10
Invité_Nono59_*
Posté 21 janvier 2008 - 01:37
L'Amour tue, oui il tue : lorsque les amoureux s'aiment, ne se font-ils pas des déclarations à mourir, et ne prononcent-ils pas des phrases à tuer ? : Je t'aime à mourir, je meurs d'amour pour toi, etc...
Jacques Brel dans toute sa splendeur chantait :
Aimer jusqu'à la déchirure
Aimer, même trop, même mal,
[/size]
Amitiés
[size="3"]Sanaa
Tenter sans force et sans armure d'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête
Suivre l'étoile
Que m'importe mes chances
Peu m'importe le temps, de ma désespérance
Et puis lutter toujours
sans question, ni repos, se damner, pour l'or d'un mot d'amour
je ne sais si je serais ce héros mais mon coeur serait tranquille...
Nono
#11
Posté 21 janvier 2008 - 01:48
Tenter, sans force et sans armure,
D'atteindre l'inaccessible étoile
Telle est ma quête,
Suivre l'étoile
Peu m'importent mes chances
Peu m'importe le temps
Ou ma désespérance
Et puis lutter toujours
Sans questions ni repos
Se damner
Pour l'or d'un mot d'amour
Je ne sais si je serai ce héros
Mais mon coeur serait tranquille
Et les villes s'éclabousseraient de bleu
Parce qu'un malheureux
Brûle encore, bien qu'ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s'en écarteler
Pour atteindre l'inaccessible étoile....
#12
Posté 21 janvier 2008 - 11:08
rien n'est pas rien sans t (luit)
le puit cherche un S (puits)
#13
Posté 22 janvier 2008 - 11:49
Fautes d'orthographe
rien n'est pas rien sans t (luit)
le puit cherche un S (puits)
Bonjour Haïku.
En tant que lecteur assez assidu, je ne suis pas tout à fait d'accord.
Je pense moi aussi que puits mérite un s,
parce que - dans ma lecture -
il ne joue pas sur une ambiguité entre le puits et le verbe pouvoir.
Et que ce texte très beau, et très riche de facettes à contourner,
mérite cette perfection orthographique.
luis, non.
Parce que le jeu me paraît évident,
(fichtre, il est bien sûr de lui ...)
entre le verbe luire et le verbe être,
via le suis/soi de l'égoïsme, et le pronom lui.
Au même titre que l'amour me tue.
Il y a une phrase magnifique,
que j'ai lue il y a une quinzaine d'années sur le sentier poétique de Thines
- le sentier existe toujours,
mais les poésies pyrogravées sur des planchettes de bois ont "fait leur temps".
Le mot "puits" a fait remonter cette phrase vers la margelle :
"Le profond rime avec profondeur et surface"
On pourrait parler des heures sur cette ligne.
Jusqu'épuisement.
J'abrège ...