J’ai souvent et longtemps
Apprivoisé les vents de la passion,
Tous ces temps qui vont
Qui ne prêtent attention
Aux cris de mes tambours
Qui déchirent et cadencent
Les absences des amours
Errants en décadence.
Ô! Mort détruis mes alibis
Trouves-moi un abri
Aux confins de l’oubli.
Libre et légère
Je dirai mes prières
Néant et poussière…