Nous ne sommes jamais partis...
Nul combat, mais juste le temps, et toi, n’existent
Qu’en dehors de l’immensité du monde des rites…
Présentent dans l’infinitude, notre bulle en sphère
Et nos âmes assoupies parmi les flots de nos vers.
Et nos cœurs, où sont-ils ailleurs qu’en nos vies
A dire que le ciel espère encore la lumière de jadis.
Le paradis perdu, là , où nous sommes encore.
Les brumes se dissipent sur un lit de plaine ; l’aurore.
Nous sommes vivants !

Nous ne sommes jamais partis...
#1
Posté 24 janvier 2008 - 05:13
#2
Posté 24 janvier 2008 - 05:31
Nous ne sommes jamais partis...
Nul combat, mais juste le temps, et toi, n'existent
Qu'en dehors de l'immensité du monde des rites…
Présentent dans l'infinitude, notre bulle en sphère
Et nos âmes assoupies parmi les flots de nos vers.
Et nos cœurs, où sont-ils ailleurs qu'en nos vies
A dire que le ciel espère encore la lumière de jadis.
Le paradis perdu, là , où nous sommes encore.
Les brumes se dissipent sur un lit de plaine ; l'aurore.
Nous sommes vivants !
magnifique .... commenter ce poème le dénaturerait....
#3
Posté 24 janvier 2008 - 05:46
Bien amicalement à toi.
#4
Posté 24 janvier 2008 - 06:15
Nous ne sommes jamais partis...
Nul combat, mais juste le temps, et toi, n'existent
Qu'en dehors de l'immensité du monde des rites…
Présentent dans l'infinitude, notre bulle en sphère
Et nos âmes assoupies parmi les flots de nos vers.
Et nos cœurs, où sont-ils ailleurs qu'en nos vies
A dire que le ciel espère encore la lumière de jadis.
Le paradis perdu, là , où nous sommes encore.
Les brumes se dissipent sur un lit de plaine ; l'aurore.
Nous sommes vivants !
no comment, c'est beau
#5
Posté 24 janvier 2008 - 06:44
Bonne soirée et bien amicalement à toi.
#6
Posté 24 janvier 2008 - 08:14
Je ne suis jamais partis...
Nul combat, mais juste le temps, et moi, n'existent
Qu'à tors, l'immensité immonde subsiste...
Presentent dans l'infinitude, fabullent en vers,
Nos ames assoupies parmi les mots, sous terre.
Et nos peurs, où sont-elles ailleurs qu’en nos vies
A dire que le ciel espère la mort, lumière factice.
Le paradis pendu, là , où nous sommes mort.
Les brumes se dissipent sur un lit de peine ; j'abhorre.
Je suis vivant!
j'ai bien aimé ton texte,mais j'espere que tu ne verra aucun prb à ma version "alternative"
amicalement,
un rien different.
#7
Posté 24 janvier 2008 - 08:26
#8
Invité_Apocope_*
Posté 24 janvier 2008 - 11:07
Qui sait...
parfois
dans nos écrits...
#9
Posté 25 janvier 2008 - 12:18
Et nos cœurs, où sont-ils ailleurs qu’en nos vies
Qui sait...
parfois
dans nos écrits...
Tu as raison...
Je deviens si égoïste !
Mille pardons.
#10
Posté 25 janvier 2008 - 12:40
Du fantasme à la peau...de la peau au fantasme...
Bien à toi...
#11
Posté 25 janvier 2008 - 12:58
#12
Posté 25 janvier 2008 - 01:17
C'est que j'ai oublié mon costume de scène, celui que j'avais est parti plaider une cause. Je reste nue, là devant moi. Bien à toi itou ^^
Nous espérons que notre collègue fera de beaux effets de manche...et tu restes nue, dans l'insolence de ton miroir...mais c'est normal...la poésie est tellement épidermique...Passe donc une belle nuit, nue...
#13
Posté 25 janvier 2008 - 01:23