Mon amante
« Écoutez la chanson bien douce / qui ne pleure
Que pour plaire. / Elle est discrète, elle est légère :
Un frisson d’eau sur de la mousse ! »
Paul Verlaine.
Les testaments de l’amour
Le bruissement des premiers pas sur terre,
Le rugissement des torrents
Et le premier sens de la vie, mon amante.
Un corps d’écume se prolonge dans mes songes
Un crépuscule, au temple de joie
Une blessure éternelle… Mon amante.
L’énigme de tous les temps, et l’aurore m’éblouissant
La tempête, le vent débridé… mon amante.
Une fontaine de volupté, pour péché
Contre la symphonie absurde de la mort… mon amante.
Le coup de poignard, d’une corde de potence
Ambiguïté qui s’enroule autour de mon cou.
Aussi cruelle qu’assassine…Ô mon amante.

mon amante
Débuté par bouhouch mohamed, janv. 25 2008 09:53
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