Derrière les rangs des magnanimités, chaque soir
Je me mettais afin d’estamper les doux moments
Qui raccompagnaient le jour à son grand perchoir.
Entre les plus beaux flambeaux des fameux heurs
Je restais souriant pour orner l’accoutrement
Du regard que j’ai laissé vide devant le leurre.
A mes mirettes, je revenais .........doux sous mon joug
Comme un forcené reprendre la force du ton
Qui s’apprêtait à lâcher ses élans dans la fougue.
En ma satisfaction, je renfonçais mon plein d’images
Comme un souvenir pour remuer mes profonds
Fonds qui roupillaient dans l’iniquité des suffrages.
Vous voulez encore briser mes élancées files ?
Votre accent resterait sur mes distances, lent
Et d’un autre lourd, je le triturerai entre mes piles.
Vous voulez étourdir mon silence assassin ?
Votre langue ne suçoterait pas le doux téton
Du sel qui réfléchit des profondeurs de la fin,
Et l’éthique que vous blessez en son berceau
Quand le jour vous découvrirait en ses rangs,
Souffrants, elle vous pèlerait avec vos faux sceaux.
Vous voulez encore briser mes élancées files ?
Votre accent resterait sur mes distances, lent
Et d’un autre lourd, je le triturerai entre mes piles.
Vous voulez étourdir mon silence assassin ?
Votre langue ne suçoterait pas le doux téton
Du sel qui réfléchit des précipices de votre fin.
hamid khenat.
arpèges et délires.
Débuté par
Invité_ermite_*
, mars 29 2007 06:35
Aucune réponse à ce sujet