
L'EPI REBELLE
Débuté par Elie-Marie, janv. 31 2008 05:13
6 réponses à ce sujet
#1
Posté 31 janvier 2008 - 05:13
Je t'écris, à la surface plane de la terre
Indécise, sur le pas de la porte battante du verbe
Conjuguant le temps qui se précise ;
Je ne sais à la plume offerte
Quel sens donner à l'encre qui circule
Tant le point, ajouté à la haie virgule,
Freine les mots dans un soupir.
De m'exclamer en plein ciel
L'ampère des lettres
Dynamise la phrase et recycle la clarté
En pleine page, je révise la mer !!!
Pour autant de pronoms qui s'exécutent
Sans que je puisse ponctuer la ligne
D'un trait - qui soustrait "les guillemets"
Aux grands yeux violets qui encensent le papier…
L'article des tresses lentes balbutie un nom en suspend
Et part sur les traces du passé, refaire la mine.
Masculin. Féminin.
Deux points noirs dans la mare
S'allument au présent et chevillent la lune à mes pieds :
Le verbe faire (ajouré des terres)
Est tombé dans le rideau de fer du sujet.
Au singulier. Au pluriel.
Tu murmurais les mots que j'interrogeais
Là -bas, sur le mur fléché des cœurs,
Avec l'adjectif du soleil, et l'accent des vagues.
Elie-Marie
#2
Posté 31 janvier 2008 - 06:17
Mon accord (auquel vous n'avez certes pas à vous subordonner) est très conditionnel
Votre poème est imparfait.
Passé comme futur n'y sont pas présents.
Je n'y trouve pas le point virgule.
Il y a suspension un moment, mais on est vite en point final.
Aussi, pas d'exclamation de ma part. Cette syntaxe est trop potentielle.
Mon accord ne sera donc que virtuel.
Il reste très circonstanciel.
(lol)
Le résultat final est cpdt nettement au dessus de la moyenne
Bien à vous, Eliem
Paname
Votre poème est imparfait.
Passé comme futur n'y sont pas présents.
Je n'y trouve pas le point virgule.
Il y a suspension un moment, mais on est vite en point final.
Aussi, pas d'exclamation de ma part. Cette syntaxe est trop potentielle.
Mon accord ne sera donc que virtuel.
Il reste très circonstanciel.
(lol)
Le résultat final est cpdt nettement au dessus de la moyenne
Bien à vous, Eliem
Paname
#3
Posté 31 janvier 2008 - 07:42
Magnifique ! J'aime !
Amitiés
Brumes1
Amitiés
Brumes1
#4
Posté 31 janvier 2008 - 08:45
«Tu murmurais les mots que j'interrogeais
Là-bas, sur le mur fléché des cœurs,
Avec l'adjectif du soleil, et l'accent des vagues.»
Je t'invite d'aller promener tes mots
Au bord de la mer, sur la plage ensoleillée.
Bronzés, couverts de reflets d'or,
Ils retourneront encore plus beaux.
Bravo Elie-Marie.
Amicalement
bibi 2008
Là-bas, sur le mur fléché des cœurs,
Avec l'adjectif du soleil, et l'accent des vagues.»
Je t'invite d'aller promener tes mots
Au bord de la mer, sur la plage ensoleillée.
Bronzés, couverts de reflets d'or,
Ils retourneront encore plus beaux.
Bravo Elie-Marie.
Amicalement
bibi 2008
#5
Invité_Apocope_*
Posté 31 janvier 2008 - 09:52
J'aime bien les déclinaisons ....
#6
Posté 01 février 2008 - 10:05
Paname, il ne s'agissait pas de moi mais de Elie-Marie.
Bizzz Elie-Marie
Eliem
Bizzz Elie-Marie
Eliem
#7
Posté 02 février 2008 - 03:00
Merci paname
Le présent ici, c'est Elie-Marie
Le futur, Eliem dans un autre poème. LOL !
Brumes
Bibi
Apocope
Eliem
MERCI d'avoir conjugué au pluriel présent le bon temps par votre présence.
Amicalement
Elie-Marie
Le présent ici, c'est Elie-Marie
Le futur, Eliem dans un autre poème. LOL !
Brumes
Bibi
Apocope
Eliem
MERCI d'avoir conjugué au pluriel présent le bon temps par votre présence.
Amicalement
Elie-Marie