
Rêves
Débuté par Abbé Faria, févr. 03 2008 12:02
13 réponses à ce sujet
#1
Posté 03 février 2008 - 12:02
Il est très dificile de retranscrir un rêve par écrit, pardonnez-donc syntaxe et inexactitudes etc
J'ai rêvé que j'étais une sorte de robot au sexe en forme de tuyau de robinet et que je m'accouplais avec une sorte de robot à un trou et nous étions coller l'un contre l'autre et au coit une figure de momie m'est apparu devant les yeux. Bref, le robot à un trou (sorte d'aspirateur) a commencer à gonfler un visage (par le bas de son corps un cou et une tête) entiérement divisé en morceaux de verre, un peu comme un vitrail et ce qui les liait (les morceaux de verre) était une substance organique. Bref la tête est complétement gonflé (ou pondu) et je la récupére pour sortir de la grande piéce où je me trouvais. Donc pour sortir je dois passer par une porte assez étroite et la tête étant très grande je créve un peu le visage gonflé mais pas beaucoup. JE sors de la piéce et je suis en fait dans une sorte de château dans les airs avec d'autres robots comme moi, je pose la tête près d'une fontaine et mes amis la couvre d'eau et le verre du visage s'illumine enfin devient translucide et se transmute en pierre faisant pousser à la tête un corps. Une sorte de géant grandissait et après je crois je suis passé à un autre rêve.
En effet plus court :
J'ai rêvé que mon frére était poéte, et que je l'apprenais, j'apprenais qu'il avait eu beaucoup de succés mais il ne voulait pas m'en parler. J'étais à moitié jaloux et en colére, je me disais : il ne peut-être qu'un poéte médiocre.
Un autre :
Je faisais l'amour à , probablement, une prostituée dans la cuisine de ma maison, d'abord elle refusait mais ensuite elle vu la taille très grosse de mon pénis (what a fat dick you have ! sont ses paroles) et accepta. Je jouissais tandis qu'un chinois nous regardait (en compagnie d'un autre type) à travers la vitre ce qui me faisait à moitié peur et me mettait l'autre moitié en colére.
J'ai rêvé que j'étais une sorte de robot au sexe en forme de tuyau de robinet et que je m'accouplais avec une sorte de robot à un trou et nous étions coller l'un contre l'autre et au coit une figure de momie m'est apparu devant les yeux. Bref, le robot à un trou (sorte d'aspirateur) a commencer à gonfler un visage (par le bas de son corps un cou et une tête) entiérement divisé en morceaux de verre, un peu comme un vitrail et ce qui les liait (les morceaux de verre) était une substance organique. Bref la tête est complétement gonflé (ou pondu) et je la récupére pour sortir de la grande piéce où je me trouvais. Donc pour sortir je dois passer par une porte assez étroite et la tête étant très grande je créve un peu le visage gonflé mais pas beaucoup. JE sors de la piéce et je suis en fait dans une sorte de château dans les airs avec d'autres robots comme moi, je pose la tête près d'une fontaine et mes amis la couvre d'eau et le verre du visage s'illumine enfin devient translucide et se transmute en pierre faisant pousser à la tête un corps. Une sorte de géant grandissait et après je crois je suis passé à un autre rêve.
En effet plus court :
J'ai rêvé que mon frére était poéte, et que je l'apprenais, j'apprenais qu'il avait eu beaucoup de succés mais il ne voulait pas m'en parler. J'étais à moitié jaloux et en colére, je me disais : il ne peut-être qu'un poéte médiocre.
Un autre :
Je faisais l'amour à , probablement, une prostituée dans la cuisine de ma maison, d'abord elle refusait mais ensuite elle vu la taille très grosse de mon pénis (what a fat dick you have ! sont ses paroles) et accepta. Je jouissais tandis qu'un chinois nous regardait (en compagnie d'un autre type) à travers la vitre ce qui me faisait à moitié peur et me mettait l'autre moitié en colére.
#2
Posté 03 février 2008 - 12:26
Je ne suis pas comme les autres abbés, j'ai fait de la prison.
#3
Posté 03 février 2008 - 04:51
Lol, mais jetez-moi cet abbé au feu !
- Cria-t-elle au scandale !
- Cria-t-elle au scandale !
#4
Posté 03 février 2008 - 07:03
Ah non, alors !
Il commence à être lisible !
Il commence à être lisible !
#5
Posté 05 février 2008 - 06:48
Alors.
Premier rêve :
Je suis invité à une sorte de cérémonie-concert sous une tente blanche pour carla bruni et sarkozy. Il y a beaucoup de monde assis et debout. Il n'y a pas de chaise. Sur une petite scène au fond de la tente on voit Johnny chanter. Je vais m'asseoir pas très loin de sarkozy et carla. Johnny a pris les traits de Dutronc. Il chante très près des marriés. Soudainement la foule est agitée. C'est Cécilia Sarkozy qui est entré et elle se place pas très loin du couple, à sa gauche. Elle n'était pas invitée. Je la regarde et elle écarte les cuisses, elle fait de l'oeil à Nicolas. Tout le monde est scandalisée, on arrête le concert. Je me retrouve dans une voiture avec à ma droite Carla Bruni. Nous sommes très mal assis. La voiture s'arrête dans la cour d'une petite maison. Je sors de la voiture par la fenêtre et je vais dans la salle à manger où il y a mes grands-parents. Je mange une soupe de pates et mon père trouve que je ressemble à mon grand-père. Je ne me rappelle plus du reste.
Deuxième rêve :
Je suis devant une télé et il y a une console (qui n'existe pas en vrai). J'insére une cartouche de jeu vidéo dans la console et j'arrive sur l'écran principal. J'ai le choix entre plusieurs ninjas. Je prends celui qui a l'air plus fort, avec une grosses épée. Le jeu démarre. Je suis à l'entrée d'une ville où des ziggurats sumériens jouxtent des sortes de temples et pyramides mayas, séparées par des ruelles. Il y a beaucoup de statues mais il n'y a personne dans la ville. Je me balade un peu et je vois une sorte de petite arène. Des choses de pierres entrent dans l'aréne. Je les attaque, je ne fais pas beaucoup de dégâts, j'ai beaucoup de mal à les tuer. J'en tue quelques unes et les statues prennent vie. Il y a désormais toutes sortes de créatures qui se réveillent : par exemple une tête de squellette avec un corps de larve. Je tranche la larve et elle meurt. Il y a de grandes statues habillé en mages. Ils marchent dans une sorte de marché. Toutes les créatures m'attaquent en me lançant des rayons oranges ou des boules d'énérgies violettes. J'en tue quelques uns en lancant les statues mobiles les unes contre les autres mais je meurs asez vite et je me réveille et je me dis que si je ne les avais pas attaqués elles ne m'aurait pas attaqués.
Troisiéme rêve :
Je suis devant un distributeur de sucettes, je vois un groupe de jeunes avec des sucettes. La sucete est à 10 centimes, j'ai assez d'argent j'en achéte une elle tombe et un jeune lui donne un coup de pied, je vais récupérer la sucette.
Quatrième rêve :
Je suis chargé de transporter des photographies très précieuses pour l'organisation culturel chez laquelle je travaille, d'un point à un autre. J'ai beaucoup de mal à les transporter elles sont très encombranttes. Je descends un escalier, arrive devant la piéce où je dois les laisser et je les fais toutes tomber. Elles s'éparpillent sur le sol et sont tâchés de café etc Un des membres de l'organisation culturel m'accuse et me dit que j'ai tout fait foiré, que je ne faisais ici que de la connerie et me dit que les français sont tous de cons. Je le saisis, je lui met un coup de tête puis un coup de poing et je lui dit de faire attentions à ses paroles. Ensuite ils arivent en nombre, je cours, je m'échappe du batîment, je me retrouve dans la cour en graviers de la maison de mes grands-parents je cours et je m'échappe sous leurs cris.
Premier rêve :
Je suis invité à une sorte de cérémonie-concert sous une tente blanche pour carla bruni et sarkozy. Il y a beaucoup de monde assis et debout. Il n'y a pas de chaise. Sur une petite scène au fond de la tente on voit Johnny chanter. Je vais m'asseoir pas très loin de sarkozy et carla. Johnny a pris les traits de Dutronc. Il chante très près des marriés. Soudainement la foule est agitée. C'est Cécilia Sarkozy qui est entré et elle se place pas très loin du couple, à sa gauche. Elle n'était pas invitée. Je la regarde et elle écarte les cuisses, elle fait de l'oeil à Nicolas. Tout le monde est scandalisée, on arrête le concert. Je me retrouve dans une voiture avec à ma droite Carla Bruni. Nous sommes très mal assis. La voiture s'arrête dans la cour d'une petite maison. Je sors de la voiture par la fenêtre et je vais dans la salle à manger où il y a mes grands-parents. Je mange une soupe de pates et mon père trouve que je ressemble à mon grand-père. Je ne me rappelle plus du reste.
Deuxième rêve :
Je suis devant une télé et il y a une console (qui n'existe pas en vrai). J'insére une cartouche de jeu vidéo dans la console et j'arrive sur l'écran principal. J'ai le choix entre plusieurs ninjas. Je prends celui qui a l'air plus fort, avec une grosses épée. Le jeu démarre. Je suis à l'entrée d'une ville où des ziggurats sumériens jouxtent des sortes de temples et pyramides mayas, séparées par des ruelles. Il y a beaucoup de statues mais il n'y a personne dans la ville. Je me balade un peu et je vois une sorte de petite arène. Des choses de pierres entrent dans l'aréne. Je les attaque, je ne fais pas beaucoup de dégâts, j'ai beaucoup de mal à les tuer. J'en tue quelques unes et les statues prennent vie. Il y a désormais toutes sortes de créatures qui se réveillent : par exemple une tête de squellette avec un corps de larve. Je tranche la larve et elle meurt. Il y a de grandes statues habillé en mages. Ils marchent dans une sorte de marché. Toutes les créatures m'attaquent en me lançant des rayons oranges ou des boules d'énérgies violettes. J'en tue quelques uns en lancant les statues mobiles les unes contre les autres mais je meurs asez vite et je me réveille et je me dis que si je ne les avais pas attaqués elles ne m'aurait pas attaqués.
Troisiéme rêve :
Je suis devant un distributeur de sucettes, je vois un groupe de jeunes avec des sucettes. La sucete est à 10 centimes, j'ai assez d'argent j'en achéte une elle tombe et un jeune lui donne un coup de pied, je vais récupérer la sucette.
Quatrième rêve :
Je suis chargé de transporter des photographies très précieuses pour l'organisation culturel chez laquelle je travaille, d'un point à un autre. J'ai beaucoup de mal à les transporter elles sont très encombranttes. Je descends un escalier, arrive devant la piéce où je dois les laisser et je les fais toutes tomber. Elles s'éparpillent sur le sol et sont tâchés de café etc Un des membres de l'organisation culturel m'accuse et me dit que j'ai tout fait foiré, que je ne faisais ici que de la connerie et me dit que les français sont tous de cons. Je le saisis, je lui met un coup de tête puis un coup de poing et je lui dit de faire attentions à ses paroles. Ensuite ils arivent en nombre, je cours, je m'échappe du batîment, je me retrouve dans la cour en graviers de la maison de mes grands-parents je cours et je m'échappe sous leurs cris.
#6
Posté 08 février 2008 - 01:57
Je suis dans une chambre, elle ressemble à (ou c'est) la chambre de mon père chez ses parents à Metz. Mon ancien colocataire, Aurélien, (et très ancien ami) est avec moi. Une sorte de grand lézard avec une tête large et plate, comme une crêpe écrasée, tout vert sauf un peu de jaune aux contours de la bouche et des yeux, court dans la pièce. Nous nous réfugions sur le lit. Le lézard lui va se terrer sous le lit. Mon ancien colocataire essaye de l'en faire sortir en glissant une main sous le lit. Le lézard s'affolle : la main a réussi à le toucher. Dès lors il se met à faire des aller retour rectilignes à toute vitesse, entre le dessous de lit et le mur en face. Je propose à Aurélien un dictionnaire usé pour qu'il tente d'écraser la bête, même si elle est très grande. C'est en réalité le dictionnaire de ma chambre à moi chez mes parents. Mais il refuse et préfère prendre le dictionnaire neuf qui se situe dans le salon de mes parents en temps normal. Il manque le lézard. Il jette autre chose (je ne sais plus quoi) et manque encore. Je prends le vieux dictionnaire et je le jette sur le lézard juste avant qu'il ne se terre. Cette fois ci la cible est atteinte. Il disparait sous le dictionnaire et à la place jaillit une très petite grenouille verte, similaire à celle d'un jeu vidéo de mon enfance. Je cours dans toute la chambre en la tapant avec un coussin blanc, mais ça n'a pour effet que de la faire bondir ailleurs. Le rêve finit là .
#7
Posté 16 février 2008 - 07:20
dabord jentrais dans une sorte de hall de gare, il y avait beaucoup de gens et puis 2 racailles noires sont arrives, elles etaient deja devant lentree et javais vu quils voulaient me raquetter donc jentrais dans le hall de gare tout le monde sest mis a sortir et les racailles noires sont entres avec plein de pote. De lautre cote du hall plein dautres racailles noires sont entres et jai compris que c t deux bandes qui allaient se battre. Donc jai essayer de me faufiler juska la sortie mais une des deux racailles noires me fait non non. Ils me font garder par une troupe de petites racailles noires dont dedans il y en a un de 7 ans. je lui dis : 'Viens avec moi je te donnerais tout mon argent'. Donc je reussi a mechapper du combat, je marche sur un pont et a travers une ville ensoleillee du genre San FRancisco, sur le chemin nous arrivons a un parc, 4 jeunes filles nous y attendent, dans les 14-20 ans. Elle se propose de se donner a nous deux par deux, lenfant noir en prend deux je prends les deux autres. Il y en a une la moins jolie je lui dit de se deshabiller et je deshabille la plus jolie, plus je la deshabille plus je vois que cest une fille que je connais en vrai. Je rends mon visage tres exciter sur la source du monde et je la vois traverser par le plaisir ce qui me traverse de plaisir. Je me reveille brutalement.
#8
Posté 16 février 2008 - 07:38
Je crois que la propagande fait que la menace dans mes reves est presque toujours jouer par une 'racaille noire'. Il faudrait une etude des reves chez les jeunes bourgeois ce serait tres interessant a mon avis. Une guerre ethnique se prepare comme nous le savons tous : il suffit de regarder l'electorat de sarkozy et celui de segolene qui sont ethniquement tres tres different.
#9
Posté 16 février 2008 - 09:08
Euh... Finalement, le rêve, ce n'était pas grand-chose en matière de "propagande" comme tu dis.
La guerre ethnique, c'est une idée à la con de Le Pen. Comme s'il y avait assez d'étrangers pour faire une guerre aux Français... comme si les étrangers n'étaient qu'une seule nationalité... Une idée de crétins, te dis-je.
La seule guerre qui vaille se passe bien d'armes pour l'heure, dans notre mignon pays : c'est la LUTTE DES CLASSES, camarade.
Pour l'analyse des rêves, je te conseille le petit livre de Freud, "Sur le rêve", avec la préface de Didier Anzieu. Pas le gros, il est chiant. Et puis "Psychopathologie de la vie quotidienne" que j'ai lu lundi, très fort.
Mais s'il te plait, range-moi cette idée de guerre ethnique au placard. C'est un fantasme.
La guerre ethnique, c'est une idée à la con de Le Pen. Comme s'il y avait assez d'étrangers pour faire une guerre aux Français... comme si les étrangers n'étaient qu'une seule nationalité... Une idée de crétins, te dis-je.
La seule guerre qui vaille se passe bien d'armes pour l'heure, dans notre mignon pays : c'est la LUTTE DES CLASSES, camarade.
Pour l'analyse des rêves, je te conseille le petit livre de Freud, "Sur le rêve", avec la préface de Didier Anzieu. Pas le gros, il est chiant. Et puis "Psychopathologie de la vie quotidienne" que j'ai lu lundi, très fort.
Mais s'il te plait, range-moi cette idée de guerre ethnique au placard. C'est un fantasme.
#10
Posté 17 février 2008 - 02:23
Ba je sais que c'est un fantasme, et qui n'est meme pas le mien, je lui donner un peu a manger, c'est tout.
#11
Posté 07 mars 2008 - 12:59
Je suis dans une salle où de nombreux élèves s'entraînent à danser. Moi, je joue à l'éléctron libre, je fais du break comme un fou, déchaîné. Je frôle tout le monde, mais personne ne semble y prêter attention. Finalement, je donne une claque en passant à l'un d'entre eux sans faire exprès. Je poursuis ma chorégraphie et je me stoppe devant Kamel Ouali. Ce dernier m'engueule sur mon geste involontaire. Je lui réponds que je n'ai pas fait exprès. Mais il s'en fout. Alors je lui réponds avec insolence, avec insulte. Je m'en fais haïr, et de tout le lycée ou l'université en même temps. Tous me haïssent. Ensuite se déroule une réunion dans une salle sombre, nous sommes tous debouts, au milieu de la salle trône une très longue table. Je suis seul, j'évite les autres et les autres m'évitent. Certains me regardent méchamment. En sortant, quelqu'un que je ne distingue pas dit aux élèves de se servir sur la table. Celle-ci est recouverte d'un bric-à -brac pas possible d'objets en tous genre. Je vois un garçon hésiter à prendre une perceuse. Quant à moi, je sors de ce lieu sans rien prendre. Plus tard je croise le garçon à la perceuse dans un couloir vide. Celui-ci s'approche soudain de moi en l'actionnant; et me la presse dans un élan criminel contre le coeur. Elle ne transperce pas vraiment ma peau, mais je ressens une douleur comme un hématome ou une piqure ? Le garçon s'en va. un professeur (ou un adulte mûr) passe par là : je l'interpelle sur ce qui vient de m'arriver. Nous nous lançons à la poursuite du criminel. Nous sortons du bâtiment. Dehors, ce sont les rues de Paris, proche des Halles. Nous retrouvons notre cible marcher au loin. Je me souviens de son visage : c'est celui du médecin psychologue acolyte du Dr House dans la célèbre série télévisée. Il n' y a étrangement pas de passants ici. Mon soutien, le professeur, disparaît. Seul à nouveau je perds la trace de mon assassin. Je me mets ensuite à pleurer, comme si le coup de perceuse sur le coeur avait considérablement alourdi celui-ci. Je suis très triste, des passants (ils réaparaissent un peu) me regardent pleurer, je marche et les dépasse. Toujours en pleur, j'arrive devant un café, où quelque personne sont installées. A côté il y a une station de métro. Je ne sais plus trop ce que je décide; mon rêve s'arrête là .
#12
Posté 07 mars 2008 - 07:41
Je suis chez moi, ce n'est pas vraiment chez moi mais un mix de tous les éléments qui le font.*
Je regarde les maisons, je suis dans une rue.
Il y a de la poussière qui vole.
Alors j'avance vers les murs de mes villes. Ce sont des gradins de pierre et de sable.
Je monte les hautes marches, très hautes, c'est quasi de l'escalade.
Je ne sais pas trop ce qui se passe, ni pourquoi je marche, je n'explique pas trop le vent chargé de poussières de sable ocre, le vent lourd.
Je suis tout seul.
J'arrive en haut.
Je vois que la ville est un bateau immense, je l'ai toujours su.
Un coque formidable.
Et je vois les vagues de sable. Nous voguons.
JE dis à quelqu'un qui n'est pas là : tu vois ? une île !
Il y a plein d'îles en effet mais nous les ignorons...
Nous barrons droit et le vent forcit...
Je regarde les maisons, je suis dans une rue.
Il y a de la poussière qui vole.
Alors j'avance vers les murs de mes villes. Ce sont des gradins de pierre et de sable.
Je monte les hautes marches, très hautes, c'est quasi de l'escalade.
Je ne sais pas trop ce qui se passe, ni pourquoi je marche, je n'explique pas trop le vent chargé de poussières de sable ocre, le vent lourd.
Je suis tout seul.
J'arrive en haut.
Je vois que la ville est un bateau immense, je l'ai toujours su.
Un coque formidable.
Et je vois les vagues de sable. Nous voguons.
JE dis à quelqu'un qui n'est pas là : tu vois ? une île !
Il y a plein d'îles en effet mais nous les ignorons...
Nous barrons droit et le vent forcit...
#13
Posté 13 mars 2008 - 02:59
J'ai rêvé que mon papi mourrait. Je recevais la nouvelle par téléphone je crois. J'étais dans la maison de mes grands-parents, une maison près de la mer, ça c'est un truc de prolétaire ces maisons : d'abord le pavillon puis une maison près de la mer. Une petite maison de pêcheur. Bref, là ma grand-mère se faisait courtiser par un petit vieux, tassé et chauve, dingue comme un petit vieux et en pyjama blanc à rayures verticales bleues. Je le poussais et puis je me retrouve sur un lit (les lits doubles vous voyez, superposés c'est ça), un lit d'enfant avec des jouets. Je pleurais, pleurais la mort de mon papi et ma mamie essayait de me faire manger un pot-au-feu et je m'apercevais que le pot au feu était empoisonné alors je la poussais.
#14
Posté 26 juin 2008 - 10:06
J'ai fait beaucoup de cauchemars à cause de mon travail. Vraiment horribles. Je ne vais pas les raconter.
Récemment j'ai rêver que je roulais des pelles à un travesti mexicain obése et moustachu, que je lui touchais les seins, il en avait deux, mais un était placé au milieu du ventre. Epatant, n'est-ce pas ?
Récemment j'ai rêver que je roulais des pelles à un travesti mexicain obése et moustachu, que je lui touchais les seins, il en avait deux, mais un était placé au milieu du ventre. Epatant, n'est-ce pas ?