O poete, ne vois tu pas que ces lubies pourrissent ta chair, qu'elles gangrennent l'esprit, Qu'au bout des vastes mers, ne trone' que le neant !
Que ce sont ceux qui reste qui forgent le monde, et que seule la force des bras rend feconde cette terre, et recouvre le gouffre béant.
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Combien de marins, Ô combien de capitaines
S'enfuirent en quête de ces rivages lointains
Où des hommes à la peau matte vivent serein,
Loin de toutes peines, sans Goliaths ni Caïns.
Et combien de ces marins, de ces capitaines
Partis prendre le large un bien triste matin
Ont fini, peut-etre lassé par les embruns
Par rejoindre ces fonds que hantent les sirenes.
O poete, ne vois tu pas que ces lubies
Pourrissent la chair(e), qu'elles gangrennent l'esprit,
Qu'au bout des vastes mers, ne trone' que le neant !
Que ce sont ceux qui reste qui forgent le monde,
Et que seule la force des bras rend feconde
Cette terre, et recouvre le gouffre béant.
bah si ya des critiques vous privez pas

@paname : normalement c ok
