Mon corps n’est pas de fer vêtu
J’ai des sentiment, le sais tu
Me prendre pour objet spirituel
Pour toi, devient rituel
Ton indifférence approfondit
Je ne la supporte plus
Qu’est ce que tu en dit
L’attente n’est pas lueur de torche
C’est juste, épée qui m’écorche
N’est tu que rêve

Où, brise qui s’achève
N’est tu q’un songe
Qui, en silence me ronge
Je vois bien que mes soupirs
N’ont ni présent ni avenir
Sous un balaie, ils se dédorent
Me laissant l’amertume, qui me dévore
Je suis de tristesse ruisselante
Moi, qui étais de joie éclatante