Sur l’épaule rêvée
Violence
Lorsque la violence est insoutenable que l’humiliation, le mépris, entoure les hommes, les femmes comme un parfum ; que les coups partent claquent, raisonnent
Que la folie guette les cervelles extenués, réelle et terrifiante
Et l’ abandon , la lâcheté, la conspiration accompagne la jouissance et saute en gloussant sur les cadavres ;ils se disent ensuite tristes et malheureux sans jamais avoir connu la souffrance ; car ils veulent être vertueux et revêtent et tissent les habits que les morts ont laissés , ils les porte sans gènes , remplis de revendications en tout genre dont ils ignorent le sens , jeunes et anciens, gloussent encore, ils ne savent pas qu’ ils sont bêtes et enfilent le manteau long beau et noir de l’ humilité.
Lorsque l’ espoir n’ a plus de sens , qu’ il s’ efface au loin perdu et seul dans le froid, que les hommes , que les femmes ne savent plus dire je, qu’ ils se cachent pour dormir pour ne pas à être honteux, que les coups partent claquent et raisonnent, que le silence brise les bouches , que les joues glissent sur les mentons ; lorsque la folie guette les cervelles extenués , réelle et terrifiante
La poésie, arrive comme un salut
Kim
Mars/ Avril
2012
Les enfants reconnus
O France tu es belles comme un oiseau trop bien nourrie , tes enfants sont gâtés et en trépasse parfois ; mais tu es belle peut être la plus belle, tu es protégée par un cercle de lumière, mais ton ventre est rond et doux, tu préfère sommeiller, tu ne peux aller voler à travers les contrées dangereuses de l’ humanité, tu ne peux comprendre les peuplades immenses qui te dépassent , mais tu es belle , peut être la plus belle, ton ventre est rond et doux, tu préfères sommeiller, même à condamner tes propres enfants la paix est ton royaume mais tu es belle , peut être la plus belle
Kim
Mars/ Avril 2012
Le chant des hommes
Ils marchent sur le parquet
Avec des larges sabots
Alors je les entends, et ils dansent sans grâce
Et je sais leur mouvement,
Il est lourd et ennuyeux et des cris pareil a des cris de hyène brisent les tympans et brisent les carreaux ;
Oui j’irai bien siffler sur la colline mais sur l’autre versant dont vous ignorez le parcourt ; en attendant,
Volez, tuez, pillez, comme les mongols entrèrent en terre de Chine qu’il en soi ainsi que l’odyssée du luxe miaule et miaule encore, je n’ai point porté le costume de ces terres, ni la fourrure du mouton, j’ai marché en homme libre et sa vision
Quand au coq, il chante haut et fort, mais quand il s’agit de défendre un enfant du pays, il n’y a plus personne ou sont les femmes, ou sont les hommes ? Orchestré par des petites cailles écervelées, ils grondent comme des hommes le chant des déportés
Kim
Mars /Avril 2012
Kim
Mars /Avril 2012
Rendez-vous
Dans la forêt aux milles et une branche vernis
Sommeil un ours, un ours immense
Il est noir, le poil dru et les oreilles fines
Il ronfle fort en alexandrin, il parait être presque gentil ;
Alors que le serpent songe prépare son venin
Une panthère débarque comme une furie, s’écorche par les branchages
Et autres ronciers
Le cheval s’échappe au loin de l’écurie
Le séquoia de l’autre bout de la terre
Encore ;
Brise sa peine,
Le jour qui s’éteint et la nuit qui l’enchaine
Et la Lune passant au dessus des arbres le regarde en rêvant
De tout mon vivant mon Dieu que tu es belle
Ton regard envoutant et ta bouche bohème
A te regarder ont dirait un poème
Quand te rêverai-je
Mon éclat de feux blancs ?
Kim
Mars /Avril 2012
Or noir,
C’était le jour de la nouvelle année Celle de l’empereur Dragon qui partout dans les rues,
Comme il est craint, on rend hommage ;
Son cuir vert qui s’étend de tout son long comme cet animal est étrange,
Ce serpent qui vole comme un oiseau
Ni poils ni plumes, il est beau, c’est poisson d’air et un violon d’eau, mais ce qui me fascinât cette soirée sur la rue d’en face,
Ennuyée, une splendide créature,
Elle était avec ses enfants ; son mari un homme d’affaires des Emirats ;
Riche de quelques fortunes envahissantes et peut être d’Or Noir.
Et sur son beau visage voilé, cette femme princesse,
Non pas soumise doucement révoltée ; un maquillage discret à la saveur étrangère, rêvée
Me fit tourner la tête ; au vent de sa beauté ; Mon regard se posait.
Pour cet instant aimé, je continue à la voir que cela en devienne indiscret,
Tu tombas le voile et je découvris loin et inconnu, tes longs cheveux et ton visage illuminé.
Kim
Mars /avril
2012
Sur l’épaule rêvée
Point de non retour, il y a sur la berge effacée; mille fois endormis sur l’épaule rêvée.
Pourtant si la terre se détourne, et fuit, sans joie, point de non retour, il y a pour les marques uniformes. Viens donc, il se trouve que le vide voit et observe comme un chat qui se délasse et trouve en la patience, une raison subtile de vivre.
Oui j’en rigole encore, tu me diras ce poème est un enfant qui sommeil et pose donc ton regard sympathique sur l’emblème de son front, embrasse le d’un baiser tendre pour qu’il s’endorme sans
Effroi ; que vois tu en tes pensées farouches ; peut être ni voit tu rien que de la braise, des danseurs affolés. j’ ai pris la sagesse comme témoin ; mais il n’ y aura point de mais , juste le point de la source glacée , si ton esprit se fige et que ton cœur , n’ est plus que l’ instrument de ton corps évanoui , s’ est que tu as vu juste dans mes écrits ; je n’ ai aucunes pensées autre et toujours le tapis n’ aura de cesse que de dérouler son dessein , ses traits , son visage ,sur les contours de ton masque que je regarde et dans le poids grave des mots , je n’ entends que le souffle de la nature ; les canons ont sonnés , le songe navrant de l’ impuissance Perse , doucement il te caresse la patte et plante ces crocs dans ta chaire .La fin est proche ne soit pas triste, ne pleure pas ; je soumettrai la douleur au calme. Ce calme se prénomme vie, tu es belle, je ne puis te dire autre, le soleil s’est noyé dans la mer. Je t’embrasse trois fois. Sur le front les deux tempes, la droite puis la gauche et une fois, je t’embrasse sur la bouche ;
C’est comme cela que je t’aime. Reste près de moi que je te regarde encore, la vie est là et ton sourire aussi et tes seins et ton corps, tout ton corps que je dévore. Miaou. Miaou. Miaou
Kim
Mars /Avril 2012
Tomimouk et sa plume
Il faut pourtant que mon âme s’évapore et retombe en bruit de scène.
Le brou ah pestilentiel qui entoure la vallée des vents continu à me suivre ou que j’aille.
J’entends claquer ses dents.
De peur, ou peut être de rage, ne rage soudaine et permanente.
Il n’y a aucuns amours. Et d’ailleurs les éléments qui virevoltent sont comme figés par l’ennuie,
La vieillesse, la jeunesse est semblable, ils mangent avec de grandes fourchettes pour que leur bouches énormes accueillent un tas de cadavres cuisinés,
Ils chantent en grâce, mais il n’y a aucuns amour, ce paradis est un enfer.
A quoi bon ? Croire encore.
Oui il le faut pourtant. J’ose espérer. Le vide est un abri et l’abri est une chanson fausse. Elle ne peut contenter personne et ceux qui s’y adaptent sont des rats tristes d’être joyeux de tout posséder.
Non à ce titre, il faut mettre un terme, à toute cette cacophonie prête à consommer ; et les micros ondes tueuses agitent les portes suspectes de Nelly green, ou bien Nelly blues, Nelly souffle ;
C’est à vous de choisir une amoureuse, aller encore un effort. Voilà ; c’est fait, nous sommes maintenant dehors.
J’ai fait tomber ma plume,
C’est à dire que tout ce qu’il se dira à l’ instant ne pourra être écrit ; bien cela n’est pas grave. Si en fait c’est vraiment très grave ; allons chercher une autre plume.
Un lien s’était construit entre Tomimouk et sa plume, s’était quelque chose de fort, ils avaient parcourut de nombreuses distances ensemble. Dans l’avion, les nuages lui rappelaient sa vie d’avant et s’était bien le seul moment ou elle était nostalgique. Oui sur qu’elle était triste lorsque à la fenêtre du hublot les nuages pleuraient et repartaient vers la terre. Mais plume de faucon ne pleurait pas, elle planait dans ce corps de métal, la liberté est intérieure se dit-elle, on n’enferme pas une plume.
Mais personne ne faisaient attention au paysage, c’était comme ca, ignorant la magie ;
C’est là, vers les notes désertes de n’être si tristement autre, les notes étaient ce qu’elles étaient ; une danse à chaque cris ; au tournant et la brume s’en alla pour toujours, embrasse moi lui dit
T’elle la musique l’embrassa, c’est une évidence, un rêve, libre et sans chagrins.
Kim
Octobre 2012
Merci à toi, qui m’as éloigné du danger
Lorsque les charognards me tournaient autour,
Comme des vautours,
J’ai pu sans danger me reposer.
Merci à toi,
Qui n’as pas d’enfants mais au cœur grand
Comme le jour
Je t’embrasse avec amour
Kim
Février 2012
Seoul
A Séoul il y a ce calme, mais un calme qui n’est pas sans poésie,
Non sans les apparences louches, superficielles,
Il y a ce calme que l’on retrouve partout
Et sur les sommets par, la vue et l’odorat,
Comsaimida,
On toucherait le ciel
Kim
Février 2012