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l arborescence de mes pensees , premiers poemes


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#1 kim

kim

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Posté 24 avril 2020 - 11:00

Premiers poèmes

 

          

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    

 

Voila deux ans que tu es parti

Et mon cœur, s’oubli

A penser à toi

Le temps est si long sur l’horloge de l’éternité

Tu es parti avec une part de moi

Jamais plus je n’étais.

C’est comme ça, le destin a soufflé sur ton âme,

On dit que c’est la vie,

Voilà deux ans que tu es parti.

 

 

 

 

Aujourd ‘ hui une fille qui avait mon âge est morte.

Elle a quitté ce monde si jeune et sans escorte,

J’entends souvent dire que la vie est belle, pour elle

Prions pour que son âme soit montée au ciel.

Envolé sa vie comme une fleur fauchée

A peine arrivée, si vite repartie

Paraitre, disparaitre, ainsi va la vie.

 

Ce que je ressens

Je ne peux l’exprimer

Le cœur déchiré

Le soufle coupé

J’étouffe je me débats,

Mais seul je me noie

Personne ne m’entend

Dans cet immense océan

Mes larmes coulent à flot et se perdent dans l’eau.

 

 

Je t’écris ces mots tombés de mon cœur blessé.

Je t’ecris ces mots froid, si froid, les yeux mouillés.

Je me souviens d’ hier lorsque tes yeux brillaient,

Et si je pleur.

C’est que de tes yeux la vie s’est retirée

Et si je pleur c’est que dans tes yeux, la

Lumière ne brille plus

Et je pleur car mon cœur se noie dans l’océan de ton regard perdus.

 

 

C’est en me promenant au jardin nostalgie

Au crépuscule sonnant ; l’heure

Ou les souvenirs fleurissent avec la nuit

Que je vis une fleur briller

Le jour est bien loin maintenant

Pourtant ton regard n’a pas changé

Souvenir de ce jour, toujours

Une place dans mon cœur

Là où le temps s’est arrêté.

 

 

Misère des pleurs misère de la vie

Comme un fatal refrain,

Chante l’oiseau mélancolie

Dans le cœur de chacun

Pique, quelques notes de musique

Dans le cœur de chacun,

Oiseau mélancolie, oiseau de la vie.

 

 

Voila le temps s’en est allé

Avec notre enfance sous son aile.

 

Dans notre vieille chambre vide, des souvenirs…

Tout est à sa place. Oublié par le temps les

Objets sont restés figés. Quelques magazines en tout genre

Posés sur la table de nuit, nos trois commodes et nos trois lits,

Les draps trop bien pliés. Sur les murs

Des posters Walt Disney riment

Avec la mélancolie du temps qui passe.

Pour chaque objet sonne un souvenir

Et chantent à mon jardin secret

Pour le meilleur ou pour le pire

Le temps s’en est allé

Avec notre enfance sous son aile.

 

 

Samedi 19 mars, c’est la veille du printemps,

Le temps depuis quelques temps est radieux

C’est la veille du printemps mais sur mon cœur,

Il n’y a qu’une seule saison

Car la neige de l’hiver

Sur mon cœur tombe et tombera

 

Dehors, le soleil chante le bonheur

Au rythme de l’astral empereur

Et moi pourtant

Je cherche une lueur dans le froid

Car le soleil m’a perdu

Dans une torpeur sans lois

D’une saison, à l’heure méconnue.

J’erre dans ce jardin de peines

Ou le mystère comme l’Eden n’est pas

Car la neige de l’hiver tombe et tombera.

C’est la veille du printemps, la veille de ma vie

Mais sur mon cœur trop souvent,

Le ciel s’obscurcit

Et je me perds dans l’ombre, ma vie.

Qui n’est qu’un grand tambour monotone

Qui incessamment sur mon cœur raisonne

La saison des pleurs, la saison des pluies ;

C’est là une musique froide

Une bien triste mélodie

Et l’hiver en mon âme, danse au rythme de l’ennui

Dans l’ombre des rêves,

Dans ce cauchemar infini

Apres la guerre, suit la trêve

 Je pleure de la poésie

Alors si la lumière parfois m’ébloui

Je le sais, je le suis

Le vent souffle et soufflera,

Le bonheur éclair, brille et s’éteindra

Et la neige sur mon cœur tombe et tombera

 

 

 

Terrifié, je me complais

Dans le néant, O tendre bruit,

Mon cauchemar, ma hantise,

Tu te nourri de mon insouciance et

Mon cœur orphelin de mélancolie

Chante en larme, la complainte de l’ennui

Heureux sans vraiment l’être

Malheureux sans vraiment l’être

Le juste milieu me rend ivre de mirages,

Effacé par la réalité comme guidé par un sage,

Je suis un spectre avançant sans avancer,

Dans un monde inintéressant, in intéressé

Marchant parmi les ombres

Il me reste une larme de regrets

Avant que définitivement ne s’envole ma plume

Et que je me complaise dans l’ennui

Lorsque mon identité bercera

Dans l’illusion d’un lointain passé.

 

 

Un tableau aux couleurs mélangées

Dans un esprit qui s’égard

Mais trouve la vérité aux couleurs de son regard

La vie est un profond sommeil

Mes rêves sont beaucoup plus sincères que ce que je vois

 Car la vie n’est qu’un rêve superficiel 

J’ose espérer avoir encore longtemps le choix

De mes illusions,

De mon regard

Sans hésitations

Le blanc et le noir

Jamais confondus

Sur le tableau

De l’absolu

Refusant le beau, l’ennui

Blanc ou noir

C’est l’amour ou la folie.

 

Ce jour ou la poésie est apparut

Dans mon cœur, la pénombre resta ombre

Mais pourtant devin belle, aussi clair que le jour.

 

Je marchais dans la nuit sans me soucier

Des pourquoi et comment, aveugle à mon propre cœur.

 

Car chacun, je crois reste une énigme pour sois même,

La poésie ne m’a pas donné de réponses ; juste des mots.

 

Ces mots ont la profondeur de la nuit,

Les couleurs de l’infini, l’extase de la magie,

Ce sont les maux de mon cœur…

 

Voila je me retrouve pareil a hier dans le non sens de la vie

 

Le bonheur me souri pourtant peut être trop

Simple trop fade, superficiel.je lui crache dessus.

Je balaye sa façade de noir et de gris

Et ce visage harmonieux, beau

Est maintenant laid et déstructuré.

 

Il a pris la couleur du non sens.

Mais mon bonheur à moi se nourrit

De ce tableau mélancolique.

 

Aujourd ‘ d hui c’ est bien ma peine,

Paris tout entier pleure sans moi

Ni rires, ni larmes

N’es ce pas le pire effroi ?

Alors c’est donc ainsi

La mélancolie même me fuie

Dans ce jardin de quiétudes

Je prends garde à l’habitude

Tendre ami de l’oubli

Doucement, mon cœur s’ennui.

 

 

Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle

Fredonne doucement, tout doucement

A mon oreille, le bruit

Du silence eternel

Je repose là, entre l’eau et le ciel

Seul mes sens bercés

Par l’instant magique traduisent ma pensée

Ivre d’inconscience

Vierge de douceur,

Je fais l’amour à l’inconnue liberté

 

Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle

Fredonne doucement, tout doucement

A mon oreille,

Le bruit du silence eternel.

 

 

 

Dehors, il ne fait pas vraiment chaud ;

Pas vraiment froid

Une bise lointaine, caresse les branches menues

De l’érable triomphant.

La nature la bien compris,

L’hiver s’essouffle, dépérit

Fier comme un lion pourtant.

 

Le roi se meurt

Dans le souvenir d’un règne tyrannique,

Dans le labeur de ce spectacle pathétique.

L’hiver n’est plus que l’ombre de lui-même.

 

Il semblerait que ce sont les oiseaux

 Qui ont donnés le signal…

Vrai, la révolte est bien plus aisée maintenant.

Allons ! vite finissons en ; non

La mise à mort approche à petits pas

La vengeance se savoure à la couleur du dictateur !

 

C’est une saison transition,

Une saison mitigée

Que savoure avec délectation

Le peuple opprimé

C’est la douce invasion

Inespérée

Du printemps

Des désespérés.

 

 

Que peut t- on espérer des lendemains de fleuraisons

Des lendemains de bonheur ;

Des journées de regrets, des journées de labeur ?

 

Que peut ont espérer des lendemains de fleuraisons

Car la belle rose sur un cœur délicat

Souvenez vous en hier, riait aux éclats

 

Et le soleil qui ne si trompait pas

Décorait la belle,

D’une parure, rosée étincelles

 

Mais maintenant, à quoi songe t- elle donc ce matin

La rosée des lendemains mélancoliques

Sur son visage fané, lui donne la réplique

Passe le temps, s’envolent les pétales, respire le chagrin

 

La tête posée sur un tapis vermeil

Elle semble songer encore ;

Et le beau soleil d’or, là haut dit de sa voix éternelle

Qu’elle était si triste mais qu’elle était si belle.

 

Comme elle est belle

Ma blanche colombe, elle fixe au loin

Le rêve, percevant l’éternité

Son plumage, étincelle comme un soleil de glace

Illuminant majestueusement

L’ombre qui s’efface,

Sur la banquise, couleur esquisse

Et lorsqu’ ‘ elle prend son envol

Mon esprit se prélasse, au son d’un battement d’ailes

Régulier, mêlé au sifflement du vent,

Elle plane au dessus d’un monde blanc

Et je perçois déjà, une lueur extase

La joue posée sue ce majestueux plumage

Vole, vole, mon bel oiseau

Savourons ces doux moments

Les yeux fermés, au firmament

De la liberté.

 

 

O ma colombe affolée,

Tu parais perdre le nord, ta blanche couleur

Le corbeau est ton roi, dans l’ombre des nuées

O ma colombe affolée

Tu me cris ton désespoir

Et mon cœur aussi trouble qu’il était hier transparent

N’entend plus qu’un silence désespéré

O ma colombe affolée

Et je pleure sur le manuscrit de mon cœur

De chaudes larmes blanches

 

 

 

 

Bercé parmes souvenirs

Dans les bras de la nuit

Je m’enivre de ces plaisirs

Fanés, de ces doux moments…

 

Ma tête tourne, qu’il est beau le temps d’antan

Ah ! Triste présent.

 

 

Je m’ennui si vous saviez comme je m’ennui

C’est bizarre, je n’ai pas de raisons de m’embêter mais c’est bizarre

Je suis touché par la maladie de l’ennuie

Rien ne me passionne, rien ne me motive, j’ai beau faire mine de m’échapper

De ruser, oublier…rien à faire, l’ennuie me rattrape toujours.

Je fais semblant de sourire, je fais semblant de rire

Il m’arrive même parfois de croire que je m’amuse,

C’est désolant car ce n’est que ruse

Je m’ennui toujours autant.

 

Pourquoi je soufre, je ne sais pas…

Lassé de subir les caprices de mes émotions

Je pique ma plume sur l’encrier de mon cœur

Et j’écris à l’encre noire des mots transparents

Comme l’eau de la fontaine ou coule les réponses à mes questions

 

 

 

Car on s’habitue à tout,

Je finirai par m’habituer à la vie.

Car on s’habitue à tout,

J’apprendrai même à être heureux

Dans l’habitude, hier ne sera qu’un rêve oublié

Un temps d’avant.

Mais au fond je m’échapperai toujours par le rêve

Car le reste ne sera que déception

 

 

A trop se creuser la tête on fini par se faire mal au cœur.

 

 

Mon bonheur me suit comme mon ombre

Retourne-toi avant que le jour tombe

Car courir après un bonheur étincelant

N’est que désolation et perte du temps.

 

 

Les yeux voilés de rêves,

L’enfant que j’étais d’une

 Main maladroite a peint

Couleur Eldorado

 

Ma vie, ce tableau.

Maintenant que je suis

L’enfant que j’étais a grandit

Le voile des rêves c’est envolé doucement,

Emporté par le souffle du temps.

 

Sur ma main hésitante

Mon pinceau tremble…

Car sur mes yeux pleure

Un bien triste paysage…

 

 

Elle sonne en moi la saison des émois

Mais qu’elle est donc ce doux parfum d’antan

Qui volant sur le vent

M’emporte avec lui

Au pays nostalgie.

 

 

Aussi beau soit t-il,

Le cheval sauvage

Sans les maux reste

Un cheval sauvage

 

 

Les arbres pleurent de lourdes feuilles mortes

Comme mes souvenirs que le temps emporte

Et le soleil verse une lumière atone

Qui déteint sur mon cœur ou doucement raisonne

La mélancolie du refrain de l’automne

 

 

La douce nuit a chassé le roi soleil

Partit se pavaner au loin dans l’aurore

Arborant fièrement, ses longues plumes d’or

Et moi bercé par la langueur du sommeil

Mon esprit s’évade au dos de ma plume

Guidé par la blanche déesse la lune

Vers un pays si beau, à mes rêves pareil.

 

La clarté du jour m’insupporte

Trop loin de mon cœur

Trop loin de la poésie

Pour cela préfère le rêve

Rimant si bien avec la nuit

 

 

 

Perdu entre le rêve ou la vie,

Je m’envole ou je pleur.

Et si le bonheur était ailleurs

Dans les bras de la nuit

 

Loin si loin, au delà de la vérité

Qui n’a de beau que son amer reflet

 

Si le bonheur n’est qu’illusions,

Moi je croque dans le rêve

Je prends les questions et je dessine les réponses

 

Perdu entre le rêve ou la vie,

Je m’envole ou je m’ennuie.

 

Se termine la vie

Là où l’innocence meurt

Tout le reste n’est que survie

Dans un monde sans saveur.

 

 

 

Mélancolie je t’ai tant haï, hué !

Te trouvant laide et ayant peur des larmes.

Depuis, dans l’habitude, résigné,

La poésie m’a parlé,

 

Vrai, ton visage a du charme ;

Loin de la beauté, éphémère,

Mélancolie au goût amer,

J’ai appris à t’aimer.

 

 

Las de la vie et ce qu’elle en est, j’écris quelques vers

Etant encore jeune et fougueux

 Avant que l’habitude ne souffle sur mes pensées

Lorsque je serai fier et narguant ce passé.

 

Plongé dans l’habitude et dans la bêtise

Je serai ami avec ce que je méprise.

Croyant détenir les clefs d’un bonheur restreint

Dans la fatalité j’apprendrai ce refrain.

 

Marchant bien droit parmi mes semblables,

Dans une atmosphère douce et potable,

Voulant changer la vie, la vie me changera

 En son image.

 

 

Je suis née dans un jour sombre,

A l’ombre des rêves,

Dans les profondeurs de la nuit,

J’étais déjà grand,

Mais pour la première fois, conscient

 

Pleurant dans ce monde désenchanté

Je cherchais désespérément

Les couleurs de la vie

Mais toutes se confondaient

Entre le noir et le gris, toutes

Avaient le triste parfum des regrets

L’amour ne se faisait qu’entre mélancolie et désespoir

Le bonheur était leur esclave et le souvenir était leur complice

 

 

 

Tu as laissé sur le lit,

Tes bijoux… et sur mon cœur qui s’ennui

Sans toi…. L’emprunte de ton sourire.

Je maudis déjà le jour,

 

Où, du soleil

Nous auront fait le tour ;

Des merveilles oubliées, dans la nuit de ton souvenir,

 

Je pleurerai le temps qui passe

Ce jour ou nous nous aimions

Dieu que la vie est lasse

S’il te plais REVONS

 

Ce matin je me suis levé, Je n’avais

Fermé l’œil de la nuit.

Dans cette douce euphorie,

L’aube m’a bercé, de rêves éveillés.

 

L’illusion s’est emparée de moi,

Du réveil et de son frai chagrin

Et je regarde avec émoi

 

Fondre une nuit sans lendemain.

 

Les premières fois

Avec tendresse se savourent

Comme ce soleil d’argent aux rayons d’automne

Qui caresse mon cœur de rêves et de velours

 

Sous le regard de Morphée,

La mélancolie s’étonne

Malgré le froid de la saison des pleurs

Une pluie de fatigue et de bonheur tombe sur mon cœur

 

 

 

Le temps, souffle sur le présent qui s’enfui,

Comme cette bise d’automne,

Réchauffant toujours mon cœur qui s’étonne.

Le froid était là, le bonheur aussi

C’est le souvenir qui me le dit.

 

 

Je voulais vous remercier madame Brami

(Car l’ingrat que je suis ne l’a toujours

 Pas fait) pour cette merveilleuse année

 Que j’ai passé avec la plus merveilleuse

Professeur de français

Je voulais vous remercier car à travers

La passion que vous avez pour votre

Métier et votre immense talent d’enseignante,

Qui permet de faire partager cette passion

À vos élèves, j’ai découvert

La poésie et je m’en suis à mon tour

Passionné.

 

Je vous remercie encore et toujours

D’autant plus que l’écrit d’invention

Du bac de français, je l’ai écrit en rimes.

 

Je vous remercie donc pour

M’avoir fait découvrir une passion, pour

Mes bon résultats au bac et je vous

Souhaite de tout mon cœur de continuer

À transmettre votre passion

Comme vous le faite car à vos cotés,

La poésie et le français tend les

Bras à tous les élèves qui ont la

Chance de vous avoir comme professeur.

Je pense sincèrement que dans

Discrétion de votre métier, plus qu’un

Verlaine ou un Mallarmé

Ce sont des personnes

Comme vous qui gagnent à être connut

Et reconnut !

 

 

Légende

 

Il était une fois

Au pays poésie

Deux sœurs jumelles :

Transparence et Emotions.

 

Transparence était blonde,

Belle comme un miroir,

Son visage était un reflet de magie.

Mais transparence ne souriait jamais,

Pire encore, jamais elle ne pleurait.

Elle n’était, ni vraiment triste,

Ni vraiment heureuse.

Et cela était la cause de son immense malheur.

 

Emotion était brune, belle

Comme la lune,

Tantôt mélancolique,

Elle pleurait des rivières, et des rivières

De larmes troubles.

Tantôt souriante.

Car, Emotion souriait beaucoup

Elle riait même souvent aux éclats.

Mais au fond, son malheur

Etait immense, car elle était incomprise.

 

C’était de loin,

Les deux plus belles femmes

Du pays poésie,

Plus belles encore que leur mère, la Rime.

Belle comme de la musique,

Elle n’était jamais triste

Car sa beauté suffisait à son bonheur.

 

La légende dit que Transparence et Emotion

Ne se sont jamais connues

Et que c’était la raison de leur immense malheur.

La légende dit aussi que leur esprit

Est présent dans le cœur de chacun

Et que celui qui les réunira

Sera un poète, mais qu’il devra se méfier

De la rime.

 

 

J’ai rêvé d’une amie.

Elle avait la joue posée sur mon cœur.

A la lueur de l’aube sur le «  lac ensorcelle  »,

Elle écoutait le silence, mêlé à l’onde de mes peines.

 

             Un sourire dessinait son visage.

Je me souviens, elle avait une blessure profonde,

Aussi profonde que notre amitié…

J’étais le seul à la voir…elle…

Plus que tout, j’aimais la caresser de mes mots

Pour soulager ses peines. Aimant l’autre…

 

 

 

 

Heureux celui, qui possède son rêve

Du cœur à l’âme, jusqu’ au bout des cils.

Du ciel, au vent aux parfums multiples,

Heureux celui qui prend corps de tous les éléments

Et s’enivre d’amour, pour croire encore et rêver toujours.

 

Oui heureux celui qui sait fermer les yeux

Sans craindre la nuit

Mais la dessiner

Sachant regarder les étoiles jusqu’au jour

Et ouvrir les yeux.

 

 

Kim

2004/2007