Premiers poèmes
Voila deux ans que tu es parti
Et mon cœur, s’oubli
A penser à toi
Le temps est si long sur l’horloge de l’éternité
Tu es parti avec une part de moi
Jamais plus je n’étais.
C’est comme ça, le destin a soufflé sur ton âme,
On dit que c’est la vie,
Voilà deux ans que tu es parti.
Aujourd ‘ hui une fille qui avait mon âge est morte.
Elle a quitté ce monde si jeune et sans escorte,
J’entends souvent dire que la vie est belle, pour elle
Prions pour que son âme soit montée au ciel.
Envolé sa vie comme une fleur fauchée
A peine arrivée, si vite repartie
Paraitre, disparaitre, ainsi va la vie.
…
Ce que je ressens
Je ne peux l’exprimer
Le cœur déchiré
Le soufle coupé
J’étouffe je me débats,
Mais seul je me noie
Personne ne m’entend
Dans cet immense océan
Mes larmes coulent à flot et se perdent dans l’eau.
…
Je t’écris ces mots tombés de mon cœur blessé.
Je t’ecris ces mots froid, si froid, les yeux mouillés.
Je me souviens d’ hier lorsque tes yeux brillaient,
Et si je pleur.
C’est que de tes yeux la vie s’est retirée
Et si je pleur c’est que dans tes yeux, la
Lumière ne brille plus
Et je pleur car mon cœur se noie dans l’océan de ton regard perdus.
…
C’est en me promenant au jardin nostalgie
Au crépuscule sonnant ; l’heure
Ou les souvenirs fleurissent avec la nuit
Que je vis une fleur briller
Le jour est bien loin maintenant
Pourtant ton regard n’a pas changé
Souvenir de ce jour, toujours
Une place dans mon cœur
Là où le temps s’est arrêté.
…
Misère des pleurs misère de la vie
Comme un fatal refrain,
Chante l’oiseau mélancolie
Dans le cœur de chacun
Pique, quelques notes de musique
Dans le cœur de chacun,
Oiseau mélancolie, oiseau de la vie.
…
Voila le temps s’en est allé
Avec notre enfance sous son aile.
Dans notre vieille chambre vide, des souvenirs…
Tout est à sa place. Oublié par le temps les
Objets sont restés figés. Quelques magazines en tout genre
Posés sur la table de nuit, nos trois commodes et nos trois lits,
Les draps trop bien pliés. Sur les murs
Des posters Walt Disney riment
Avec la mélancolie du temps qui passe.
Pour chaque objet sonne un souvenir
Et chantent à mon jardin secret
Pour le meilleur ou pour le pire
Le temps s’en est allé
Avec notre enfance sous son aile.
…
Samedi 19 mars, c’est la veille du printemps,
Le temps depuis quelques temps est radieux
C’est la veille du printemps mais sur mon cœur,
Il n’y a qu’une seule saison
Car la neige de l’hiver
Sur mon cœur tombe et tombera
Dehors, le soleil chante le bonheur
Au rythme de l’astral empereur
Et moi pourtant
Je cherche une lueur dans le froid
Car le soleil m’a perdu
Dans une torpeur sans lois
D’une saison, à l’heure méconnue.
J’erre dans ce jardin de peines
Ou le mystère comme l’Eden n’est pas
Car la neige de l’hiver tombe et tombera.
C’est la veille du printemps, la veille de ma vie
Mais sur mon cœur trop souvent,
Le ciel s’obscurcit
Et je me perds dans l’ombre, ma vie.
Qui n’est qu’un grand tambour monotone
Qui incessamment sur mon cœur raisonne
La saison des pleurs, la saison des pluies ;
C’est là une musique froide
Une bien triste mélodie
Et l’hiver en mon âme, danse au rythme de l’ennui
Dans l’ombre des rêves,
Dans ce cauchemar infini
Apres la guerre, suit la trêve
Je pleure de la poésie
Alors si la lumière parfois m’ébloui
Je le sais, je le suis
Le vent souffle et soufflera,
Le bonheur éclair, brille et s’éteindra
Et la neige sur mon cœur tombe et tombera
…
Terrifié, je me complais
Dans le néant, O tendre bruit,
Mon cauchemar, ma hantise,
Tu te nourri de mon insouciance et
Mon cœur orphelin de mélancolie
Chante en larme, la complainte de l’ennui
Heureux sans vraiment l’être
Malheureux sans vraiment l’être
Le juste milieu me rend ivre de mirages,
Effacé par la réalité comme guidé par un sage,
Je suis un spectre avançant sans avancer,
Dans un monde inintéressant, in intéressé
Marchant parmi les ombres
Il me reste une larme de regrets
Avant que définitivement ne s’envole ma plume
Et que je me complaise dans l’ennui
Lorsque mon identité bercera
Dans l’illusion d’un lointain passé.
…
Un tableau aux couleurs mélangées
Dans un esprit qui s’égard
Mais trouve la vérité aux couleurs de son regard
La vie est un profond sommeil
Mes rêves sont beaucoup plus sincères que ce que je vois
Car la vie n’est qu’un rêve superficiel
J’ose espérer avoir encore longtemps le choix
De mes illusions,
De mon regard
Sans hésitations
Le blanc et le noir
Jamais confondus
Sur le tableau
De l’absolu
Refusant le beau, l’ennui
Blanc ou noir
C’est l’amour ou la folie.
…
Ce jour ou la poésie est apparut
Dans mon cœur, la pénombre resta ombre
Mais pourtant devin belle, aussi clair que le jour.
Je marchais dans la nuit sans me soucier
Des pourquoi et comment, aveugle à mon propre cœur.
Car chacun, je crois reste une énigme pour sois même,
La poésie ne m’a pas donné de réponses ; juste des mots.
Ces mots ont la profondeur de la nuit,
Les couleurs de l’infini, l’extase de la magie,
…
Ce sont les maux de mon cœur…
…
Voila je me retrouve pareil a hier dans le non sens de la vie
Le bonheur me souri pourtant peut être trop
Simple trop fade, superficiel.je lui crache dessus.
Je balaye sa façade de noir et de gris
Et ce visage harmonieux, beau
Est maintenant laid et déstructuré.
Il a pris la couleur du non sens.
Mais mon bonheur à moi se nourrit
De ce tableau mélancolique.
…
Aujourd ‘ d hui c’ est bien ma peine,
Paris tout entier pleure sans moi
Ni rires, ni larmes
N’es ce pas le pire effroi ?
Alors c’est donc ainsi
La mélancolie même me fuie
Dans ce jardin de quiétudes
Je prends garde à l’habitude
Tendre ami de l’oubli
Doucement, mon cœur s’ennui.
…
Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle
Fredonne doucement, tout doucement
A mon oreille, le bruit
Du silence eternel
Je repose là, entre l’eau et le ciel
Seul mes sens bercés
Par l’instant magique traduisent ma pensée
Ivre d’inconscience
Vierge de douceur,
Je fais l’amour à l’inconnue liberté
Sur l’eau, l’onde calme du lac ensorcelle
Fredonne doucement, tout doucement
A mon oreille,
Le bruit du silence eternel.
…
Dehors, il ne fait pas vraiment chaud ;
Pas vraiment froid
Une bise lointaine, caresse les branches menues
De l’érable triomphant.
La nature la bien compris,
L’hiver s’essouffle, dépérit
Fier comme un lion pourtant.
Le roi se meurt
Dans le souvenir d’un règne tyrannique,
Dans le labeur de ce spectacle pathétique.
L’hiver n’est plus que l’ombre de lui-même.
Il semblerait que ce sont les oiseaux
Qui ont donnés le signal…
Vrai, la révolte est bien plus aisée maintenant.
Allons ! vite finissons en ; non
La mise à mort approche à petits pas
La vengeance se savoure à la couleur du dictateur !
C’est une saison transition,
Une saison mitigée
Que savoure avec délectation
Le peuple opprimé
C’est la douce invasion
Inespérée
Du printemps
Des désespérés.
…
Que peut t- on espérer des lendemains de fleuraisons
Des lendemains de bonheur ;
Des journées de regrets, des journées de labeur ?
Que peut ont espérer des lendemains de fleuraisons
Car la belle rose sur un cœur délicat
Souvenez vous en hier, riait aux éclats
Et le soleil qui ne si trompait pas
Décorait la belle,
D’une parure, rosée étincelles
Mais maintenant, à quoi songe t- elle donc ce matin
La rosée des lendemains mélancoliques
Sur son visage fané, lui donne la réplique
Passe le temps, s’envolent les pétales, respire le chagrin
La tête posée sur un tapis vermeil
Elle semble songer encore ;
Et le beau soleil d’or, là haut dit de sa voix éternelle
Qu’elle était si triste mais qu’elle était si belle.
…
Comme elle est belle
Ma blanche colombe, elle fixe au loin
Le rêve, percevant l’éternité
Son plumage, étincelle comme un soleil de glace
Illuminant majestueusement
L’ombre qui s’efface,
Sur la banquise, couleur esquisse
Et lorsqu’ ‘ elle prend son envol
Mon esprit se prélasse, au son d’un battement d’ailes
Régulier, mêlé au sifflement du vent,
Elle plane au dessus d’un monde blanc
Et je perçois déjà, une lueur extase
La joue posée sue ce majestueux plumage
Vole, vole, mon bel oiseau
Savourons ces doux moments
Les yeux fermés, au firmament
De la liberté.
…
O ma colombe affolée,
Tu parais perdre le nord, ta blanche couleur
Le corbeau est ton roi, dans l’ombre des nuées
O ma colombe affolée
Tu me cris ton désespoir
Et mon cœur aussi trouble qu’il était hier transparent
N’entend plus qu’un silence désespéré
O ma colombe affolée
Et je pleure sur le manuscrit de mon cœur
De chaudes larmes blanches
…
Bercé parmes souvenirs
Dans les bras de la nuit
Je m’enivre de ces plaisirs
Fanés, de ces doux moments…
Ma tête tourne, qu’il est beau le temps d’antan
Ah ! Triste présent.
…
Je m’ennui si vous saviez comme je m’ennui
C’est bizarre, je n’ai pas de raisons de m’embêter mais c’est bizarre
Je suis touché par la maladie de l’ennuie
Rien ne me passionne, rien ne me motive, j’ai beau faire mine de m’échapper
De ruser, oublier…rien à faire, l’ennuie me rattrape toujours.
Je fais semblant de sourire, je fais semblant de rire
Il m’arrive même parfois de croire que je m’amuse,
C’est désolant car ce n’est que ruse
Je m’ennui toujours autant.
…
Pourquoi je soufre, je ne sais pas…
Lassé de subir les caprices de mes émotions
Je pique ma plume sur l’encrier de mon cœur
Et j’écris à l’encre noire des mots transparents
Comme l’eau de la fontaine ou coule les réponses à mes questions
…
Car on s’habitue à tout,
Je finirai par m’habituer à la vie.
Car on s’habitue à tout,
J’apprendrai même à être heureux
Dans l’habitude, hier ne sera qu’un rêve oublié
Un temps d’avant.
Mais au fond je m’échapperai toujours par le rêve
Car le reste ne sera que déception
…
A trop se creuser la tête on fini par se faire mal au cœur.
…
Mon bonheur me suit comme mon ombre
Retourne-toi avant que le jour tombe
Car courir après un bonheur étincelant
N’est que désolation et perte du temps.
…
Les yeux voilés de rêves,
L’enfant que j’étais d’une
Main maladroite a peint
Couleur Eldorado
Ma vie, ce tableau.
Maintenant que je suis
L’enfant que j’étais a grandit
Le voile des rêves c’est envolé doucement,
Emporté par le souffle du temps.
Sur ma main hésitante
Mon pinceau tremble…
Car sur mes yeux pleure
Un bien triste paysage…
…
Elle sonne en moi la saison des émois
Mais qu’elle est donc ce doux parfum d’antan
Qui volant sur le vent
M’emporte avec lui
Au pays nostalgie.
…
Aussi beau soit t-il,
Le cheval sauvage
Sans les maux reste
Un cheval sauvage
…
Les arbres pleurent de lourdes feuilles mortes
Comme mes souvenirs que le temps emporte
Et le soleil verse une lumière atone
Qui déteint sur mon cœur ou doucement raisonne
La mélancolie du refrain de l’automne
…
La douce nuit a chassé le roi soleil
Partit se pavaner au loin dans l’aurore
Arborant fièrement, ses longues plumes d’or
Et moi bercé par la langueur du sommeil
Mon esprit s’évade au dos de ma plume
Guidé par la blanche déesse la lune
Vers un pays si beau, à mes rêves pareil.
…
La clarté du jour m’insupporte
Trop loin de mon cœur
Trop loin de la poésie
Pour cela préfère le rêve
Rimant si bien avec la nuit
…
Perdu entre le rêve ou la vie,
Je m’envole ou je pleur.
Et si le bonheur était ailleurs
Dans les bras de la nuit
Loin si loin, au delà de la vérité
Qui n’a de beau que son amer reflet
Si le bonheur n’est qu’illusions,
Moi je croque dans le rêve
Je prends les questions et je dessine les réponses
Perdu entre le rêve ou la vie,
Je m’envole ou je m’ennuie.
…
Se termine la vie
Là où l’innocence meurt
Tout le reste n’est que survie
Dans un monde sans saveur.
…
Mélancolie je t’ai tant haï, hué !
Te trouvant laide et ayant peur des larmes.
Depuis, dans l’habitude, résigné,
La poésie m’a parlé,
Vrai, ton visage a du charme ;
Loin de la beauté, éphémère,
Mélancolie au goût amer,
J’ai appris à t’aimer.
…
Las de la vie et ce qu’elle en est, j’écris quelques vers
Etant encore jeune et fougueux
Avant que l’habitude ne souffle sur mes pensées
Lorsque je serai fier et narguant ce passé.
Plongé dans l’habitude et dans la bêtise
Je serai ami avec ce que je méprise.
Croyant détenir les clefs d’un bonheur restreint
Dans la fatalité j’apprendrai ce refrain.
Marchant bien droit parmi mes semblables,
Dans une atmosphère douce et potable,
Voulant changer la vie, la vie me changera
En son image.
…
Je suis née dans un jour sombre,
A l’ombre des rêves,
Dans les profondeurs de la nuit,
J’étais déjà grand,
Mais pour la première fois, conscient
Pleurant dans ce monde désenchanté
Je cherchais désespérément
Les couleurs de la vie
Mais toutes se confondaient
Entre le noir et le gris, toutes
Avaient le triste parfum des regrets
L’amour ne se faisait qu’entre mélancolie et désespoir
Le bonheur était leur esclave et le souvenir était leur complice
…
Tu as laissé sur le lit,
Tes bijoux… et sur mon cœur qui s’ennui
Sans toi…. L’emprunte de ton sourire.
Je maudis déjà le jour,
Où, du soleil
Nous auront fait le tour ;
Des merveilles oubliées, dans la nuit de ton souvenir,
Je pleurerai le temps qui passe
Ce jour ou nous nous aimions
Dieu que la vie est lasse
S’il te plais REVONS
…
Ce matin je me suis levé, Je n’avais
Fermé l’œil de la nuit.
Dans cette douce euphorie,
L’aube m’a bercé, de rêves éveillés.
L’illusion s’est emparée de moi,
Du réveil et de son frai chagrin
Et je regarde avec émoi
Fondre une nuit sans lendemain.
Les premières fois
Avec tendresse se savourent
Comme ce soleil d’argent aux rayons d’automne
Qui caresse mon cœur de rêves et de velours
Sous le regard de Morphée,
La mélancolie s’étonne
Malgré le froid de la saison des pleurs
Une pluie de fatigue et de bonheur tombe sur mon cœur
…
Le temps, souffle sur le présent qui s’enfui,
Comme cette bise d’automne,
Réchauffant toujours mon cœur qui s’étonne.
Le froid était là, le bonheur aussi
C’est le souvenir qui me le dit.
…
Je voulais vous remercier madame Brami
(Car l’ingrat que je suis ne l’a toujours
Pas fait) pour cette merveilleuse année
Que j’ai passé avec la plus merveilleuse
Professeur de français
Je voulais vous remercier car à travers
La passion que vous avez pour votre
Métier et votre immense talent d’enseignante,
Qui permet de faire partager cette passion
À vos élèves, j’ai découvert
La poésie et je m’en suis à mon tour
Passionné.
Je vous remercie encore et toujours
D’autant plus que l’écrit d’invention
Du bac de français, je l’ai écrit en rimes.
Je vous remercie donc pour
M’avoir fait découvrir une passion, pour
Mes bon résultats au bac et je vous
Souhaite de tout mon cœur de continuer
À transmettre votre passion
Comme vous le faite car à vos cotés,
La poésie et le français tend les
Bras à tous les élèves qui ont la
Chance de vous avoir comme professeur.
Je pense sincèrement que dans
Discrétion de votre métier, plus qu’un
Verlaine ou un Mallarmé
Ce sont des personnes
Comme vous qui gagnent à être connut
Et reconnut !
…
Légende
Il était une fois
Au pays poésie
Deux sœurs jumelles :
Transparence et Emotions.
Transparence était blonde,
Belle comme un miroir,
Son visage était un reflet de magie.
Mais transparence ne souriait jamais,
Pire encore, jamais elle ne pleurait.
Elle n’était, ni vraiment triste,
Ni vraiment heureuse.
Et cela était la cause de son immense malheur.
Emotion était brune, belle
Comme la lune,
Tantôt mélancolique,
Elle pleurait des rivières, et des rivières
De larmes troubles.
Tantôt souriante.
Car, Emotion souriait beaucoup
Elle riait même souvent aux éclats.
Mais au fond, son malheur
Etait immense, car elle était incomprise.
C’était de loin,
Les deux plus belles femmes
Du pays poésie,
Plus belles encore que leur mère, la Rime.
Belle comme de la musique,
Elle n’était jamais triste
Car sa beauté suffisait à son bonheur.
La légende dit que Transparence et Emotion
Ne se sont jamais connues
Et que c’était la raison de leur immense malheur.
La légende dit aussi que leur esprit
Est présent dans le cœur de chacun
Et que celui qui les réunira
Sera un poète, mais qu’il devra se méfier
De la rime.
…
J’ai rêvé d’une amie.
Elle avait la joue posée sur mon cœur.
A la lueur de l’aube sur le « lac ensorcelle »,
Elle écoutait le silence, mêlé à l’onde de mes peines.
Un sourire dessinait son visage.
Je me souviens, elle avait une blessure profonde,
Aussi profonde que notre amitié…
J’étais le seul à la voir…elle…
Plus que tout, j’aimais la caresser de mes mots
Pour soulager ses peines. Aimant l’autre…
…
Heureux celui, qui possède son rêve
Du cœur à l’âme, jusqu’ au bout des cils.
Du ciel, au vent aux parfums multiples,
Heureux celui qui prend corps de tous les éléments
Et s’enivre d’amour, pour croire encore et rêver toujours.
Oui heureux celui qui sait fermer les yeux
Sans craindre la nuit
Mais la dessiner
Sachant regarder les étoiles jusqu’au jour
Et ouvrir les yeux.
Kim
2004/2007