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l arborescence de mes pensees ,derniers poemes


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#1 kim

kim

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Posté 24 avril 2020 - 11:03

                                                            Derniers poèmes

 

 

 

Souvent j’ai regardé le ciel

Et en me disant. Du pareil au même

 

Les voyages.

 

N’est ce pas tout d’aimer.

Souvent regardant le ciel immense.

 

Cette prison d’amour reste veine.

Ou aller, dépossédé de ton ombre,

Bien sur la lune m’a guidé. Ou marcher ?

Semblable aux décors des allées lumineuses ;

Sombre. La nuit le jour.

 

Je demeure étranger.

 

Il n’y a pas d’amour ordinaire.

Trop peu ont eu le droit d’aimer.

Bien sur les choses avancent.

Mais vers quoi ? L’amour

Tombe raide.

 

Libre, de dire oui, tout cela nous oppresse ;

Rien de plus que cette rengaine

Éternelle. Je m’en vais rêver mes heures

Dans le maniement infini du destin.

    Qu’il s’en moque, cela est bien

Puisque tout fini par se taire.

Je n’ai pas dit ce qu’il adviendra de l’ombre

   Pareil, si elle ne veut plus sourire, ni parler.

Tant de bêtises martèlent les cervelles.

Humaines. Faut’ il s’en rappeler ; qu’un et

L’autre ne soit le même. Ici bas, tu partiras

Loin, au moins, mais dans le gémissement cruel

Des braves, c’est l’amour qui donne à vivre

Et les chaines qui nous entourent ne sont là que

Pour dire, ne pars pas.

 

Non ne parts pas  car je t’aime et

Les murailles détruites de nos espérances je veux

Les rebâtir ; qu’elles soient si belles que tu en oublie

La prison lumineuse dans laquelle nous mourons,

    Enfer ou les morts s’agitent en couronne.

Non ne parts pas embrasse moi comme

Au premier jour de l’espérance. Cris mon nom comme

Fougue, et même si tu parts, l’éclair qui a fait

Trembler mon corps te rappellera au point nommé

De mon cœur. Liberté.

Mon amour embrasse moi encore.je veux

Sentir les déambulations de ton être savant ; pour que

Tu m’explique par un gémissement instinctif

Pourquoi continues-tu de te taire sachant.

Et avant que j’oublie la vérité de l’instant

  Et que je me retourne pour

Que le maniement de mes songes te fasse

Perdre la raison, tu auras déjà tissé

Une belle toile ; tapis au vent d’étoile

Le tigre qui volait pour délivrer sa fiancée.

 

 

 

 

 

 

 

Un instant pareil

A l’étoile qui, balance

Une horde de cheveux

 

Après la nuit pour l’amour des femmes

S’il avait plume, un jour divin

Un divin amour sans rêve ni fin

Apres la nuit pour l’amour des femmes

 

Si l’écriture de l’âme

Que j’évite d’exclamer

Par mouvements infâmes

Et violence pour près.

 

Que le poète est idiot à parler la beauté

Que le poète est idiot de partir sans chercher

Ah s’il se pouvait une seule femme

Que j’embrasse lentement et mon cœur lui livrer

Mais mon cœur a battit des forteresses glacées

Et tous mes poèmes ne peuvent les briser.

 

Que j’aimerai un instant

Ma tête reposée

Sur ce corps que j’aime tant

Et à l’amour me livrer.

 

J’ai cherché dans les astres

Les tourbillons violents

J’ai voulu perdre la trace

Revenir aux vivants

 

S’il se pouvait une douce femme

Que j’aime comme une amie

Et des caresses dont on ne se lasse

Comme des tourtereaux en s’aimant pour la vie.

 

Mais l’ennuie me guette, comme je suis proie

Mais la mélancolie me guette au passage des Rois

Et je parts toujours laissant les amours punis

Dans ce cœur qui prisme l’ombre et la mélancolie.

 

O Dame scélérate

A l’éclair pour près

Dans la nuit qui chevauche

Les jours baladés.

 

L’épaisse fumée

Sur ce siècle de givre

Aux visages marbrés

En ce siècle de givre.

 

Les enfants du monde

Mélangé, parlent d’un

Corps aux saveurs mélangées.

Les temps changent, s’inversent les pavés

Les chats de gouttières envahissent les prés

 

 

 

Kim

Décembre 2012