Deux lacs aux reflets glacés d'hiver en maraude,
deux étangs cobalt où tous les cieux s'y noient,
tes yeux sont pour moi, quand l'amour y rôde,
deux puits de mystère d'où la lumière poudroie
Je me suis laissée prendre à cet azur étrange
où je me vois "médaille" en ta pupille cachou
et si parfois je baisse mon regard c'est qu'étrange
est le rythme de mon sang battant dans mon cou
Je comprends qu'on puisse ainsi mourir d'aimer
et que l'on s’abandonne en arborant ce sourire
qui étire nos lèvres mûres car dans le corps renaît
ce carrousel de sensations et sa cohorte des délires
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