Ce lien, fragilise lentement ta main madame,
Et je ne vois ni vive ombre ni toit de jouvence
Où baguenaude le violent vent de ma défiance
Pour te laisser mûrir encore sur ton fil d'âme.
Ce lien, faisait rougir auparavant ta flamme
Comme l'horizon de ta lointaine souffrance,
Et je l'avais laissée vivante devant l'errance
Que menaient ces durs vents sur son élancée lame :
Ses couleurs brillaient sans cesse comme l'or
Qui valorisait l'aura du soir devant le store
Que rabaissait constamment la nuit amblyope ;
Sa fragilité parlait de ta jouvence éteinte
Et je ne peux qu'orner la mort de ton âme sainte
En te parlant de flammes, de du Bellay et Esope.
farid khenat.
visible sur mon khenatermite.