
Michel Deguy
#2
Posté 18 février 2022 - 07:19
... dans ce bout d'article, à propos de cet homme si cultivé, tout spécialement, la question du ' savoir ' _
en sait-il plus aujourd'hui ?
- Laurence HERAULT aime ceci
#3
Posté 18 février 2022 - 08:54
Il y avait le poète philosophe, sur les traces de Derrida et le poète nu. Parfois aussi le poète philosophe était nu mais le poète nu l'était plus encore.
https://www.babelio....44160/citations
#4
Posté 18 février 2022 - 01:02
pendant longtemps je pensais ne jamais rien lire de snoop deguy dog, à priori trop mandarinal pour moi.
et puis, assez récemment, j'ai fini par lire le recueil "poésie 1960-1970", en poche poésie gallimard.
et, oh surprise, cela m'a plus. donc :
mieux vaut tard que jamais.
#5
Posté 19 février 2022 - 10:14
Oui.
Le mandarinat du Paris 8 des années 1990 était tout de même un beau bain poétique où l'on croisait au quotidien Deguy, Meschonnic, Janvier ou encore Claude Mouchard, pour ne citer qu'eux. La poésie régnait sur ce petit département de littérature, c'est certain. Je ne sais pas ce qu'il en est aujourd'hui.
#6
Posté 19 février 2022 - 12:31
jamais entendu parler de claude mouchard, désolé.
je crois que nous ne pouvons pas vraiment avoir la même perception des choses
car j'imagine que tu as passé quelques années à la fac, et moi non
(heureusement, dirais-je, mais ça n'engage que moi).
#7
Posté 19 février 2022 - 07:30
#8
Posté 23 février 2022 - 01:46
non.
tu as fait une fac de lettres modernes. licence ? master ? plus ?...
#9
Posté 27 février 2022 - 06:50
Je me suis arrêté après la licence. Je voulais faire une maîtrise mais les bibliothèques m'ont absorbé peu de temps après. J'ai tout de même rédigé trois "mémoires" (jamais soutenus) : l'un sur Le marteau sans maître de René Char, un second sur l'histoire du mot "série" et le troisième sur le sémantisme du mot "série" chez Gérard de Nerval. J'aurais voulu être suivi par Meschonnic mais il partait à la retraite et je crois qu'il n'était pas très intéressé par ce que je voulais faire. J'ai commencé à travailler le mémoire sur Nerval avec Jean-Nicolas Illouz mais nous ne résidions pas du tout sur la même planète. Une fois sorti de l'université, j'ai eu le sentiment d'avoir quitté une réalité parallèle - la vie étudiante - à laquelle il me devenait de plus en plus impossible de revenir, même si je me suis toujours intéressé, par la suite, aux questions de linguistique en particulier. Et surtout, ce sont mes premiers essais de sériographie.
- denis_h aime ceci
#10
Posté 01 mars 2022 - 11:49
pour être édité chez POL il aurait fallu que tu fasses sciences-po.
#12
Posté 23 avril 2022 - 01:30
Connais pas. J'ai du l'enterrer quelque part. En revenant dans le cimetière des éléphants l'absurdité du truc c'est que Cécile Coulon s'est enterrée pour prendre sa place. Elle est poète.
#13
Posté 23 avril 2022 - 10:53
cécile coulon n'est pas poète.
c'est un personnage de télé-réalité.
#14
Posté 23 avril 2022 - 12:40
#15
Posté 28 avril 2022 - 07:36
cécile coulon n'est pas poète.
c'est un personnage de télé-réalité.
La télé réalité c'est la réalité de la télé.
#16
Posté 29 avril 2022 - 08:36
La télé réalité c'est la réalité de la télé.
peut-être, mais comme je n'ai plus de télé depuis 2003, je ne sais que te répondre.
#17
Posté 05 juin 2022 - 04:26
Je n'ai pas de télé non plus. On ne sait pas ce que l'on rate.