
La culture créneau d'ouverture
#1
Posté 25 février 2008 - 02:14
Culture bastion de grandeur et de maillage
Epanouit et appelle à de larges échanges
Humains de toutes les nations
L’épanouissement est une noble passion
Tendons des passerelles d’entente et de solidarité
Vivons positivement nos richesses de diversité
Parlons une langue de concorde et de paix
Luttons contre toute forme de phobie et de rejet
Culture, ce créneau doit viser l’universel
Tissons donc des liens interculturels
Source de rencontres et de festivals annuels
En musique, en peinture et en poésie
Le cinéma et le théâtre sont bien choisis
Pour des scènes en Europe, en Afrique et en Asie
#2
Invité_souris_*
Posté 25 février 2008 - 02:26
Ton texte est magnifique, et représente un vaste programme.
Déjà sur ce site, pour ramener une cordialité qui semble disparaître à chaque commentaire, il faudrait ...
il faudrait....il faudrait ???
Je pense personnellement que ce n'est pas la culture qui est source d'ouverture, mais l'amitié et la compréhension.
Amicalement
Souris
#3
Posté 25 février 2008 - 02:29
Bonjour Ahmmed,
Ton texte est magnifique, et représente un vaste programme.
Déjà sur ce site, pour ramener une cordialité qui semble disparaître à chaque commentaire, il faudrait ...
il faudrait....il faudrait ???
Je pense personnellement que ce n'est pas la culture qui est source d'ouverture, mais l'amitié et la compréhension.
Amicalement
Souris
Je te remercie de ton commentaire qui encourage.
C'est la culture qui parfois empèche de s'ouvrir sur l'autre,de le reconnaitre dans sa diversité,de l'accepter tel qu'il est en rejetant des clichés qui entrave l'amitié et la cordialité
mes salutations
ahmed
#4
Posté 25 février 2008 - 02:57
Ton poème est bien fait . Je partage avec toi toutes tes idées.
Amicalement Nacer.
#5
Posté 25 février 2008 - 03:54
C'est la culture qui parfois empèche de s'ouvrir sur l'autre,de le reconnaitre dans sa diversité,de l'accepter tel qu'il est en rejetant des clichés qui entrave l'amitié et la cordialité
Je serais tout à fait d'accord avec cela, à la condition express de remplacer "culture" par "fausse culture".
Pour le poème, j'applaudis des deux mains
et je me permets d'ajouter ici une réflexion personnelle sur le même thème :
Le Louvre d’Abou Dhabi est une des dernières trouvailles de la délocalisation sonnante et trébuchante.
Que le Louvre retire quelques deniers d’une exportation de sa griffe et de la création d’un musée à son nom sur des rivages de mirages, on ne pourrait que s’en féliciter.
Mais à la condition impérative qu’il ne vende pas son âme avec !
A la rencontre de quelle population privée de culture le nouveau Louvre va-t-il se rendre à Abou Dhabi ?
Les riches nouveaux riches de l’or noir fossile connaissent Paris depuis belle lurette ! Ils s’y rendent en goguette, et vont au vrai Louvre se reposer de leurs agapes de palaces. Ils n’ont pas besoin chez eux de la copie d’un original qu’ils connaissent tous par cœur.
On ne pourrait que saluer l’idée, et donc la réalisation, d’un nouveau Louvre qui ferait partager ses œuvres universelles à de larges populations qui autrement en resteraient privées.
En s’installant par exemple au plus épais de l’humanité, qu’elle soit indienne, chinoise ou mexicaine, ou de toute autre qui en aurait un urgent et réel besoin mais dont la pauvreté la priverait.
Le Louvre s’honorerait à s’expatrier au profit de la soif de connaissances, du mélange des cultures, de l’éducation populaire, de l’humanisme bien compris.
Dès lors qu’il investirait dans la culture pour le plus grand nombre et dans l’éducation, première des promotions humaines, il n’aurait certes pas à rougir d’un assez juste retour sur investissement.
En se vendant dans le désert des Emirats arabes, il devrait normalement beaucoup rougir, voire apparaître d'un écarlate proprement apoplectique !
#6
Posté 25 février 2008 - 04:00
Merci pour ton intérêt à ce que j'écris.Je serais tout à fait d'accord avec cela, à la condition express de remplacer "culture" par "fausse culture".
Pour le poème, j'applaudis des deux mains
et je me permets d'ajouter ici une réflexion personnelle sur le même thème :
Le Louvre d'Abou Dhabi est une des dernières trouvailles de la délocalisation sonnante et trébuchante.
Que le Louvre retire quelques deniers d'une exportation de sa griffe et de la création d'un musée à son nom sur des rivages de mirages, on ne pourrait que s'en féliciter.
Mais à la condition impérative qu'il ne vende pas son âme avec !
A la rencontre de quelle population privée de culture le nouveau Louvre va-t-il se rendre à Abou Dhabi ?
Les riches nouveaux riches de l'or noir fossile connaissent Paris depuis belle lurette ! Ils s'y rendent en goguette, et vont au vrai Louvre se reposer de leurs agapes de palaces. Ils n'ont pas besoin chez eux de la copie d'un original qu'ils connaissent tous par cœur.
On ne pourrait que saluer l'idée, et donc la réalisation, d'un nouveau Louvre qui ferait partager ses œuvres universelles à de larges populations qui autrement en resteraient privées.
En s'installant par exemple au plus épais de l'humanité, qu'elle soit indienne, chinoise ou mexicaine, ou de toute autre qui en aurait un urgent et réel besoin mais dont la pauvreté la priverait.
Le Louvre s'honorerait à s'expatrier au profit de la soif de connaissances, du mélange des cultures, de l'éducation populaire, de l'humanisme bien compris.
Dès lors qu'il investirait dans la culture pour le plus grand nombre et dans l'éducation, première des promotions humaines, il n'aurait certes pas à rougir d'un assez juste retour sur investissement.
En se vendant dans le désert des Emirats arabes, il devrait normalement beaucoup rougir, voire apparaître d'un écarlate proprement apoplectique !