Vous qui entendez le murmure, de mes rimes dispersées,
Dans vos soupirs sur lesquels j'ai nourri mon coeur,
Pendant le début de ma jeunesse errante,
Lorsque j'étais en partie un autre que moi-même,
J'espérais rencontrer de la pitié, dans votre pardon,
Dans ces vaines approches en lesquelles j’aurai parlé et pleuré,
Entre l’espoir inutile, en cette mélancolie vaine,
Et ceux-là qui avaient compris qu’ils étaient aveuglés en ces épreuves.
Et je verrais d’une manière lumineuse , ce que je suis devenu
Comme ce vieux conte que je suis, une sorte de monde de rêves.
Et d’apercevoir, dans le miroir du firmament,notre amour
Est la honte ! Ou le fruit de mes propres vanités,
Est le remords ! Ou celle de la connaissance la plus éclatante
Peut-être la façon dont on partage le plaisir du monde dans un rêve.

Vous qui entendez le murmure, de mes rimes dispersées,
Débuté par bernardo, avril 03 2007 09:12
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