2 réponses à ce sujet

[desexistenz]

Je te cherche, mon monde exotique
Dans mes plus profonds songes idylliques.

Ainsi, en quête de mon Idéal,
Je vaque au grand Spleen infernal,
Qui incruste le coeur des pires naufrages,
Et des vers qui ne font que ravage....


Comment autrement échapper à l'Etat crepusculaire,
Que de penser à toi qui ne porte pas l'Amer?
Je te vois, passionnée dans mon éternel délire
Auquel je ne laisserai personne tirer satire!


Tu es enveloppé d'une chaleur d'automne,
Bien plus heureuse que celle dont souffre l'ozone.
Je rêve de l'envers de notre monde,
Où les exotismes et les cascades innondent
Mon corps et ma tête d'intenses plaisirs,
Mon coeur et mon ventre qu'on ne peut plus ravir.

Des sentiments primaires que l'homme a banni!

Ton ciel est immense toile orange affranchi,
Y reflètent les taches de girafes; y raisonnent
Les tambours, et les chatons qui ronronnent.

Tu es mon tableau de Van Gogh!

Mais tandis que tes couleurs ardues me droguent,
J'ai peur de me convaincre que cet univers
Ne reste que poesie. Et ne sera jamais ouvert.
Saches tout de même, que comme une mère,
Ta douceur et ta beauté ne sont jamais ephémères.


J'ai en moi l'espoir que lorsqu'on atteint les nuages,
Le jardin de paix est celui que mon esprit se partage.

[nacer guidoum]

‘’J'ai en moi l'espoir que lorsqu'on atteint les nuages,
Le jardin de paix est celui que mon esprit se partage.’’

J’ai bien aimé ce couplet.

Un désespéré qui espère n’est plus un désespéré . C’est un perdu qui commence à se retrouver.
Ton poème est plein de transcendance .

Amicalement Nacer.

[desexistenz]

merci pour ton commentaire
il est vrai que les phrases de la fin sont pas mal..