Le ciel est surpeuplé.
Tiens-toi droite.
C’est ma vulgarité crispée qui tombe.
Des braises, impossible à poser.
Les rhodochrosites en font tout un jardin !
Elles ont tout vu… et mon œil qui passe en biais.
Cette vérité immense,
mutagène. Elle est dense et tenace, escarpée.
C’est de ta faute.
Tu sais, je m'allonge encore au plancher. Et les épaules pleines à croquer.
Désormais, ma courbe est faite pour ça.
L’écrin n’a pas bougé d'un œuf. Tu t’en souviens ?
Hurlons sur les araignées de la blessure.
Autour du cou.
J’ai pris du recul, appuyée sur les boucles, les bains et l’étreinte.
Jusqu’aux yeux.
Mais c’est toujours ta main qui remonte.
Et je reprends la mer, en shampooings de lumières.
Marionnette enchantée.
Arrache-moi.
Tu verras l'immense éclaté de sourires,
me bondir d’un feu impliqué.
Pose ton cul, je veux que tu viennes.