5 réponses à ce sujet

[reza]

Toutes ces routes, ces détours, cette vilaine errance.

Elle est là, devant moi, poings posés sur les hanches.
Je l’aime. Vieux cri secret d’un journal de jeune fille.
Moça differente ; ah la jolie cédille !
Moça differente ; ah la douce démence!
Mais la grande douleur d’aimer dans le silence…

Elle est là, devant moi, comme dans ces rêves étranges,
Elle est Mona Lisa, les autres sont vilaines ;
Sa voix, oui, forte et douce comme un vers de Verlaine.
Un léger mouvement de sa main, nous volons,

Survolons les eaux calmes des eaux fortes de Folon.
Nous volons des instants pour être tous les deux,
Je lui parle, lui répond, elle reprend, plisse les yeux.

Place des Ternes, terminus, direction la rue Bleue.

[l'Yve]

Toutes ces routes, ces détours, cette vilaine errance.

Elle est là, devant moi, poings posés sur les hanches.
Je crie, oui ! comme un journal intime de jeune fille.
Moça differente ; Ah la douce cédille
Mais la grande douleur d'aimer dans le silence…

Elle est là, devant moi, comme dans ces rêves étranges,
Elle est Mona Lisa, les autres sont vilaines ;
Sa voix, oui, forte et douce comme un vers de Verlaine.

Un léger mouvement de sa main, nous volons,
Survolons les eaux calmes des eaux fortes de Folon.
Nous volons des instants pour être tous les deux,
Je lui parle, lui répond, elle reprend, plisse les yeux.

Place des Ternes, terminus, direction la rue Bleue.

son sourire sa souffrance sa vie son errance
le chien bleu passe et regarde
il est heureux lui divague
une rencontre lui suffit pour passer la nuit...

[Lisange]

Le bleu de la nuit, prénombre.
À part cette voiture qui passe en trombe
C'est qu'il me raconte...
Qu'elle n'a laissé qu'un bout d'ombre
Sillonnante sur la chaussés sombre.

Et seuls nous sommes.

[reza]

Merci souris.