8 réponses à ce sujet

[Hauteur]

L'araignée.




Dans la toile d’argent, je me suis fait happer.
Je suis à la merci de vos fougueux caprices
Et je perdrai la vie à chercher vos délices.
Je regardais vos yeux et ne m’en suis méfié…

En vos filets, ma Dame, vous ferez de moi
Tout ce que bon vous semble, à l’idée du matin,
Quand en vous éveillant vous me verrez enfin
Les pieds et mains liés devenir votre proie .

Je ne puis plus lutter, vous m’avez envoûté,
Puis jeté dans vos fils pour que mes réticences
Ne puissent résister aux attraits de vos danses,
Que je sois le pantin de vos désirs voilés.



Hauteur

[.ds.]

Ouch, enfin Messire vous déniez vous dévoiler
ainsi, vous arrivez, sans pudeur aucune et désirez
Que neni, nous voici comblées ; oyé Mesdames
Venez avant que je ne sonne l'alarme
Messire Hauteur est de retour, il est
enfin parmi, il est enfin chez nous ; oyé

Je ne tremble pas non, mais que de malheurs
que de sourires en bandoulières
mais quel bonheur, Messire Hauteur !

[Lisange]

Cher Hauteur,

Vous vous êtes fait prendre au filet
Souhaitons que vous n'ayez de regret.
Plus haut il y a des anges
Vers vous leurs ailes se tendent.

C'est toujours un plaisir de vous retrouver!

[Paname]

Hauteur, c'est toujours un plaisir de vous lire
sans compter celui de vous relire...
Paname




Oublions l'inconséquente ds, qui essaie ici d'imiter votre style inimitable !
Avec son "Oyé", la voilà qui nous met les Beatles dans la Carte de Tendre, la Bouffonne !

[Hauteur]

Ouch, enfin Messire vous déniez vous dévoiler
ainsi, vous arrivez, sans pudeur aucune et désirez
Que neni, nous voici comblées ; oyé Mesdames
Venez avant que je ne sonne l'alarme
Messire Hauteur est de retour, il est
enfin parmi, il est enfin chez nous ; oyé

Je ne tremble pas non, mais que de malheurs
que de sourires en bandoulières
mais quel bonheur, Messire Hauteur !

Ma Dame, quel accueil ! Vous m'en voyez rougir !
Moi qui croyais ici n'être qu'un souvenir
Dont on voit la relique au musée poussiéreux,
Je suis premier surpris d'avoir grâce à vos yeux !

Recevez mon hommage, aussitôt exprimé,
Ainsi que vous savez, je suis homme poli,
Mais au-delà de ça, permettez qu'aujourd'hui
Je dépose un baiser sur vos doigts appréciés.

Hauteur

[Hauteur]

Cher Hauteur,

Vous vous êtes fait prendre au filet
Souhaitons que vous n'ayez de regret.
Plus haut il y a des anges
Vers vous leurs ailes se tendent.

C'est toujours un plaisir de vous retrouver!

Le plaisir est pour moi,
Qui vient d'un long voyage,
De voir que l'équipage
N'a pas quitté le bois...

Il reste donc ici
Quelques uns des auteurs
Qui firent mon bonheur
Dans une ancienne vie !

Au plaisir de Lisange...


Amitié
Hauteur

Hauteur, c'est toujours un plaisir de vous lire
sans compter celui de vous relire...
Paname




Oublions l'inconséquente ds, qui essaie ici d'imiter votre style inimitable !
Avec son "Oyé", la voilà qui nous met les Beatles dans la Carte de Tendre, la Bouffonne !

Bonsoir Paname,

J'ai trouvé, pour ma part, que DS s'en tirait plutôt bien dans ce qui est, avouez-le, pour elle un rôle de composition !

Délices.

Un grand bonjour à vous, l'ami.

Amitié
Hauteur

[Vuduciel]

Le plaisir est pour moi,
Qui vient d'un long voyage,
De voir que l'équipage
N'a pas quitté le bois...

Il reste donc ici
Quelques uns des auteurs
Qui firent mon bonheur
Dans une ancienne vie !

Au plaisir de Lisange...


Amitié
Hauteur

Il est, je vous rejoins, plaisir à retrouver
La musique des vers de nos auteurs d'antan,
Et l'on entend au loin cette flûte enchantée
Qui mène à la clairière, au bois des revenants...

On ignore parfois les regards dérobés,
Les capes qui s'enfuient à l'approche des pas,
Les étoffes de soie aux parfums oubliés,
Les chants ensevelis à l'heure du trépas...

On oublie un peu vite un nom sur une écorce,
Une odeur de cigare, un reflet dans la glace,
Un rocher de granit, une joute féroce,
Mais il est des départs qui gardent toute place...

On apprend parfois tard l'intérêt qu'on nous porte
Ou bien celui qui fut à l'aube d'une gloire
Lorsque le bruit des chars se mêlaient à l'escorte
D'une foule aux mains nues mais les yeux forts d'espoir...

C'est lorsque l'on retrouve au détour d'un chemin
Silhouette connue à l'allure un peu fière,
On se dit que les douves ont râtées leur destin,
Qu'il reste ce qui fut, embrasser l'être cher...

[Hauteur]

Il est, je vous rejoins, plaisir à retrouver
La musique des vers de nos auteurs d'antan,
Et l'on entend au loin cette flûte enchantée
Qui mène à la clairière, au bois des revenants...

On ignore parfois les regards dérobés,
Les capes qui s'enfuient à l'approche des pas,
Les étoffes de soie aux parfums oubliés,
Les chants ensevelis à l'heure du trépas...

On oublie un peu vite un nom sur une écorce,
Une odeur de cigare, un reflet dans la glace,
Un rocher de granit, une joute féroce,
Mais il est des départs qui gardent toute place...

On apprend parfois tard l'intérêt qu'on nous porte
Ou bien celui qui fut à l'aube d'une gloire
Lorsque le bruit des chars se mêlaient à l'escorte
D'une foule aux mains nues mais les yeux forts d'espoir...

C'est lorsque l'on retrouve au détour d'un chemin
Silhouette connue à l'allure un peu fière,
On se dit que les douves ont râtées leur destin,
Qu'il reste ce qui fut, embrasser l'être cher...

[Lisange]

Quel bel ajout Vuduciel!
Que mes ailes dans sa Hauteur
Vous salut au passage.