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Lorsque la coquette Espérance Nous pousse le coude en passant, Puis à tired'aile s'élance, Et se retourne en souriant ;
  Où va l'homme ? Où son coeur l'appelle. L'hirondelle suit le zéphyr, Et moins légère est l'hirondelle Que l'homme qui suit son désir.
  Ah ! fugitive enchanteresse, Saistu seulement ton chemin ? Fautil donc que le vieux Destin Ait une si jeune maîtresse ! 
 Poésies nouvelles
 
 
 
 
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