Mondes qui, chaque soir, à mes regards ravis Publiez la grandeur du Créateur suprême, Passezvous les premiers dans un lointain extrême, Ou d'autres sontils morts, que vous avez suivis ? A d'implacables lois êtesvous asservis ? La route parcourue estelle encor la même ? Et, comme les fleurons autour d'un diadème, Rayonnezvous autour des célestes parvis ? Estil parfois chez vous un coeur qui s'apitoie ? Estil un gueux qui pleure, un riche qui festoie ? O mondes éclatants, vos sentiers sontils vieux ? Nous cherchezvous aussi dans votre impatience ? Direzvous vos secrets, un jour, à la science, Ou faudratil mourir pour vous connaître mieux ?
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