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Ô monts justement fiers de vos pentes arides, Ô bords où j'égarais mes pas, Ô vagues de la mer, berceau des Néréides, Que je fendais d'un jeune bras,
J'ai peur de vous revoir, mais c'est une folie : Siedil qu'un coeur comme le mien Soit assouvi jamais de la mélancolie De votre charme aérien ?
Les Stances
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