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Où la Chimère s'exténue Vaut la torse et native nue Que, hors de ton miroir, tu tends !
Les trous de drapeaux méditants S'exaltent dans une avenue : Moi, j'ai ta chevelure nue Pour enfouir des yeux contents.
Non. La bouche ne sera sûre De rien goûter à sa morsure, S'il ne fait, ton princier amant,
Dans la considérable touffe Expirer, comme un diamant, Le cri des Gloires qu'il étouffe.
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