Isaac Habert
Poèmes de cet auteur disponibles à la lecture :
Ah ! ne me baisez plus, ah ! mon coeur, je me meurs, Ah ! que je suis fâché ! maudit soit le réveil, A l'ombre des myrtes verts, A la merci des vents, des flots, et de l'orage, Amour m'a découvert une beauté si belle, Celui ne suis-je point, divine chasseresse, Cheveux crêpes et longs où mon coeur se désire, Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir, J'ai cette nuit goûté les plus douces douceurs, J'avais longtemps erré par les sombres déserts, Je suis si transporté d'aise et d'étonnement, Je te dois bien aimer, ô déesse Inconstance, L'on ne voit rien que feux, l'air est tout enflammé, Le pourtraict, Mon dieu ! que de plaisir il y a de songer !, Quand le clair Apollon tire son char des eaux, Que des sombres Enfers les tremblantes horreurs, Sisyphe malheureux, Ixion et Tantale, Sur la sombre minuit qu'une liqueur miellée, Viens, ma belle Florelle, où l'ombre noir tremblote
|
Naissance : 1560
Deces: 1615
Pays: FRANCE
Biographie de ISAAC HABERT :
Bibliographie de ISAAC HABERT :
En savoir plus (source : wikipedia)
|
0 commentaire(s)