
Bratis
Y a-t-il des frontières sous différentes formes, des nouveaux domaines
à explorer, il y a surtout le contour de ta personnalité qui soulève le voile
entre le majestueux et la ligne, aspirant dans une alchimie, ta pâleur
et ses reflets, de la chair à prêcher, quand remonte le dernier tram
Et cela te plaît, tout ces murs verdâtres, qui se glissent dans le sanctuaire
Regarde là ! se tient une autre porte maintenue par un simple crochet
où se bousculent les images de ces dernières années
Pourquoi te parfumes tu de ce sourire irrégulier, qui aboie à fendre
d'un magnifique dégradé. Sous ton blouson serti de perles, que tu portes
tu m'encourages à raconter des histoires sur le rayonnement, on y parlera
de mode et de théâtre, celui que les médias injecte dans le quotidien
Cette descente de parcours affirmera sa préférence, de cette course en solitaire
Pourtant on peut communiquer avec la terre d'un simple clic, etc, etc, etc....
Ajouté à la difficulté de la nommer dans cette prise de nuit
tu exhibes cet agrandissement sur le perron d'un quai
D'abord la robe de cette ville renversée, puis ce bruit sournois où il m'est impossible de te dire
Ce regard d'oiseau construit en terre, formant un réseau, vain de certaines expériences
Une belle définition qui impose les lois des plus grands...
Comme un bande numérique tu ressasses toutes ces questions en filigrane
dans l'obscur labyrinthe de la psyché, entrelacs vagabond
où chaque semaine se rappelle de la pluie avant qu'elle tombe
Un dernier volet, mais parfois le décor se cache, par ces mots que tu ne diras point
Mais ton vrai talent est de fermer les yeux, pour s'entendre vivre d'une façon ordinaire
simple polyphonie, sans jamais altérer l'émotion qu'elle suscite
Ce que tu mets dans ton dos est la violence de l'amitié, les obligations familiales
J'aime quand tu prends le chemin de la nuit qui évoque avec justesse, ton pas
dans ces rues sombres et intenses...
lcp 19/01/2010