
Ma Vendéenne
J'aime quand tu classes cet univers éperdument
tourné vers les hauteurs
qui donne à sentir près des vestiges le silence et son infini
dont le coeur bat ici sans songer au drame
Rien n'est trop beau pour sertir l'éclat
et marquer l'esprit lié au statut, dont l'apparat est fait
de fougères et de blés, pour opérer sur le regard
et achever de former dans un moment de basculement
ce soleil qui ruisselle
Quelques instants d'une vie dont le visage change
transformant ton village en étendard
Il ouvre la voie à une inventivité
l'air est si fragile...
lcp 21/04/2011