
Le désir d'en vivre
Une déchirure entre désir et séparation
comme une plante odoriférante qui délivre son parfum
délicat, effleurant les profondeurs
traversant le pays, vécu comme gémellaire par le narrateur
une ambiance particulière, ce pourrait être le moment
décisif de l'hiver
à la faveur d'une période, par la grâce magique d'une métaphore
une sorte de romantisme noyée dans une nature enveloppante
La vie ne vaut pas d'être vécu sans prendre de risque
je me dirige vers le responsable du wagon et je commande
un chocolat, qui d'ailleurs s'avère bon
Un monde intérieur, mystique diptyque
évanescent traversé de passages, il serait ambitieux
d'en dresser la liste
Parce qu'au premier froid j'enfile mon blouson
même avant le solstice d'hiver
Je m'invente des histoires improbables
bercé par léonard (cohen), sur les routes de l'imaginaire
juste un petit bout de lumière...
lacape 09/06/2011