
Avant même de se toucher...
Pour ce rien d'impondérable
quand résonnent les dalles aux pointes des toits levés
où rien d'autre ne bouge, que la beauté sauvage
des ruelles obscures, inventant un art nouveau
les ombres des terrasses, en pallier, et l'écho des chaises
sans saveur
-Nous reviendrons en Juillet-
Pour un air au dessus, qui converse et se pose
obsédant la tête haute des statues, sous les arches
Pour mieux te connaître, cette main qui tremblera en long rouleaux
sans rien laisser paraître, élargissant le corps des églises
de salve de vasques et de mots clairs...
lcp 20/11/2008