
Nantes...
Quelques pas
Et tout ces voeux, murés, à l'abri des regards, près du pont, remplissant les jardins obtus
une odeur de feuilles, dans une assiette ronde combattait à sa façon, la rue
Avec des hauts le coeur, j'ouvrais les yeux, au devant, pour prendre le large, sous l'armure
des coquillages et des clochers pointus, avaient posés leurs ailes
sur une trace de suie, infiltrés dans les veines des sermons s'offraient des orages et des jeux
libres et fous, en dehors des grilles, ils accrochaient des épines aux vitraux, des absides pleines
pour poser leurs masques, courbés, vers des lieux inconnus...
lcp23/12/2008