
Figé...
La rue s'allume d'un étroit lien
derrière les visages, un fonds de cour et quelques murs
à n'en plus faire un pas, quant ta silhouette se fige
parlant de finistère
Le temps d'un journal en bout de piste, dans un ciel de décembre
mais à qui vont les mots
On pourrait prendre la ville à deux et son parfum qui rôde
dans les fontaines de passage
Etranges arpenteurs, contournant les parterres, des vitrines repues
de souvenirs nouveaux, pas loin d'une cathédrale, née de ce pays là...
lcp 26/12/2008