
Il le fallait...
Il fallait que tu viennes, l'absence était en gêne, d'avoir trop attendue
ces heures naissantes, que l'ont formés, nous avons prononçés la salve
Sanglés, en haut d'une tour, sans lampe dans le noir
Un frisson, rassemblé sur ta peau, un seul nom au bord
Tu étais si belle comme on le dit, c'était une question essentielle, des mots d'autrefois
Même en surface la nuit s'était fondue, et se jouait, a portée de nos mains, immenses
reliant l'univers calme et droit, un débat interdit de silence
J'ai encerclé ta peau, brûler les frontières, pour connaître tes secrets
et ne plus me retenir, jetant les heures hors de nos bras, une prière offerte
une offense...
PS : J'ai encore ton visage au bout de mes doigts
et la chaleur de ta peau, remplissant mon espace...
lcp 28/01/2009