
A deux pas d'ici...
L'idée se cale, des hommes pour le récit
A la station verticale ton abandon, des courants d'air bien trop bas
l'ultime souche au modèle insolent, qui taille sur nos membres des poches
Et ce brouillard qui s'infiltre dans ton cuir à l'affût du sang
Des boucles, à l'arrondi mélancolique, tombent sur ton djeans
tout en douceur
dans la rue transie, où file les passants
Des enseignes sur le plat de leurs mains
dessinent derrière tes lunettes un faisceau
pour cacher ta fuite
un soupir
Il est tard...
lcp 24/03/2009