
Seul, un vendredi...
A deux pas de l'anneau d'or
tant pis si l'hiver semble loin, sur la place
grasse et captive, entourée de chaînes, impatiente à se rendre
Pourquoi caches tu ton visage, si précieux, au passé qui t'obsède
Des têtes dans un lit de pièrre, pendues sur les poitrines
aux fréquentations les plus avancées
Tu en es le pouls, le ton, rien de sentimental, que des fragments d'archives
et de citations, pressée de ceux qui savent, inébranlable et souveraine
sous l'influence du décor qui s'impose...
lcp 05/04/2009