
Mariinsky...
Comme un écho dans la nuit
Imprégné d'une lune timide
Eclairant Mariinsky de minutes blanches
Il y avait certains soirs dans l'air
Comme une transparence
Sur le parquet ciré
Des ombres fidèles
La fièvre des regards
Comme un aveu
Balayant leurs passages
De milles pas
Où souffle la mémoire de ballets oubliés
Je rêvais
Dans la coulisse immobile du théâtre Impérial
A l'exil des fastes d'antan
A la couleur de vos yeux brillant de secrets insoumis
J'attendais le signal de l'aube pour les parcourir
Le coeur délivré.......
lacape le 8/O8/2007