Ils ne vous portent pas
Ils ne vous conduisent pas
Même légèrement
Entre les herbes hautes
Sûrement au petit vallon
Hasards lents
De lumière
Ils ne déroulent pas
Longuement
Leurs alignements de pierres
Ils ne vous invitent pas
Même à demi mot
À l’intimité de leurs clairières
La corniche serpente
Et bien qu’on l’arpente
Elle se referme aussitôt
Entre colline et ruisseau
Me voilà l’apôtre
Des cailloux et du vent
L’humeur dehors
Puis dedans.
décembre 2006
Marseille.
Ils ne vous conduisent pas
Même légèrement
Entre les herbes hautes
Sûrement au petit vallon
Hasards lents
De lumière
Ils ne déroulent pas
Longuement
Leurs alignements de pierres
Ils ne vous invitent pas
Même à demi mot
À l’intimité de leurs clairières
La corniche serpente
Et bien qu’on l’arpente
Elle se referme aussitôt
Entre colline et ruisseau
Me voilà l’apôtre
Des cailloux et du vent
L’humeur dehors
Puis dedans.
décembre 2006
Marseille.