michelconrad' Blog

Le printemps d’aimer
 
Ce qui me sauve, c’est le verbe « aimer ». Lorsque, tandis que tu es si loin, je le prononce, je l’écris, la nuit et le froid perdent de leur pouvoir, pour laisser place à un éternel printemps, le printemps d’aimer.
 
7/5/25
 

De toi
 
 
De toi vient la magie
qui éclaire ma vie,
de toi me vient le rire,
c’est ton plus bel empire,
de toi vient le désir,
chaque nuit, chaque jour,
de toi me vient écrire
ce poème d’amour.

 
11/2/24

 
 
 

Les portes
 
 
Te dire mon amour, c’est t’ouvrir, toutes grandes, les portes de mon âme : tout y est transparent, tout prend de toi son sens.
 
 
 
6/5/25
 

La vie sans toi
 
 
La vie sans toi est une attente, une attente sans fin de toi, car tout mon être te réclame, tout réclame d’avoir un sens. La vie sans toi est une absence, c’est un grand vide dans le cœur.
 
 
 
 
 
6/5/25
 

De grands navires

Dans mon amour de vous, les mots sont davantage que des mots, ce sont de grands navires, ils apportent le pain et le sel de la vie, ils donnent la lumière aux nuits de solitude, ils sont garants de tout, vous sauvent de la tourmente.
 

5/5/25 
 

Mon unique amour
 
Sans toi, il n’est plus de saisons, car tu es la saveur et le parfum des fleurs, le grand soleil du cœur, la lumière du jour, -- et mon unique amour. 
 

4/5/25

 
 

Plus lumineuse qu’un soleil
 
J’arrache, sans cesse, à la Nuit,
tous les poèmes que je t’écris,
il me faut dire cet amour,
cette lumière de mes jours,
 
il me faut dire ce désir,
ce grand élan qui m’émerveille,
et cette magie de ton rire,
plus lumineuse...

Le sentier
 
Vous êtes le soleil de tous mes paysages, vous êtes la raison de garder le courage, vous êtes le parfum de la vie, chaque jour, vous êtes le sentier radieux de l’Amour.
 
4/5/25

La pensée d’amour
 
Mon amour pour vous est une chose immense. Je ne peux pas vous aimer dans l’étroitesse des choses, je ne peux vous aimer que dans l’immensité. Quand je dis à haute voix « je vous aime », en pensant très fort à vous, je ne peux pas ne pas me dire que la cent milli...

L'ultime liberté
 
Je ne croyais pas pouvoir, un jour, vous aimer au point que plus rien d’autre que vous n’ait d’importance. C’est ce qui m’arrive, à présent, et je suis comme un navire qui aurait rompu toutes ses amarres, et qui navigue dans une liberté ultime, celle de vous aimer.
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