La véritable fête, la fête intérieure, jaillit n'importe où , n'importe quand, comme l'orage, comme le grand soleil : je n'ai jamais autant ri qu'après certain moment de grand désespoir. Lorsque deux êtres se rencontrent vraiment, pour une fête des sens, une fête de l'âme, ils n'ont besoin de rien d'a...
michelconrad' Blog
Certaines phrases de Rimbaud sont essentielles. Ainsi, celle-ci : « Pourquoi une apparence de soupirail blêmirait-elle au coin de la voûte ? »(« Les Illuminations », « Enfance », V, explicit ). La question, en apparence, reste en suspens, mais laisse la possibilité à...
On ne songe pas, en regardant un paysage, un être humain, qu’il nous faudra, un jour, en parler au passé, – comme d’autres que nous le feront de nous-mêmes. Un bouquet de vieux saules me fascinait, par sa forme : certains penchaient dangereusement vers la rivière, d’autres vers la prairie, comme un bouquet de fl...
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est une forêt
hantée de songes
que nous avons à traverser.
24/12/17
"Arbres en décembre " (18/12/17). Tous droits réservés.
https://img15.hostin...8703778895n.jpg
est une forêt
hantée de songes
que nous avons à traverser.
24/12/17
"Arbres en décembre " (18/12/17). Tous droits réservés.
https://img15.hostin...8703778895n.jpg
Les sentiments ne se flétrissent pas : ils se minéralisent, deviennent cristal, aigue-marine...
Le manque est insidieux : c'est un souvenir, une image, le timbre d'une voix, une intonation, – et tout cela s 'éloigne lentement, appareille vers le continent des choses qui n'existent plus que par éclairs, da...
Le manque est insidieux : c'est un souvenir, une image, le timbre d'une voix, une intonation, – et tout cela s 'éloigne lentement, appareille vers le continent des choses qui n'existent plus que par éclairs, da...
Je n'ai pas eu le temps
de soumettre l'amour
à l'épreuve du Temps,
– aussi est-il resté
l'esquisse d'un soleil.
de soumettre l'amour
à l'épreuve du Temps,
– aussi est-il resté
l'esquisse d'un soleil.
La nuit m’emporte,
et tu es loin,
c’est la plus forte
jusqu’au matin,
et tu es loin,
dans le silence,
jusqu’au matin,
à toi je pense,
dans le silence
et ses cohortes,
à toi je pense,
la nuit m’emporte.
24/12/17
et tu es loin,
c’est la plus forte
jusqu’au matin,
et tu es loin,
dans le silence,
jusqu’au matin,
à toi je pense,
dans le silence
et ses cohortes,
à toi je pense,
la nuit m’emporte.
24/12/17
Le crépuscule
verse de l’or
sur l’argent de la rivière,
à moins qu’il ne verse l’argent
sur l’élément liquide :
naît, alors, « l’argent doré » ,
– la lumière
d’un jour d’hiver.
23/12/17...
verse de l’or
sur l’argent de la rivière,
à moins qu’il ne verse l’argent
sur l’élément liquide :
naît, alors, « l’argent doré » ,
– la lumière
d’un jour d’hiver.
23/12/17...
L’oiseau qui chante en hiver
n’ignore pas le printemps,
le poète qui désespère
songe que tourne le vent.
23/12/17
n’ignore pas le printemps,
le poète qui désespère
songe que tourne le vent.
23/12/17
Sobre lumière
d’un jour d’hiver,
tu donnes à voir
ce que l’été
ne peut montrer ,
– douce tristesse,
tu fais briller
dans l’ombre même
la flamme d’être.
22/12/17
...
d’un jour d’hiver,
tu donnes à voir
ce que l’été
ne peut montrer ,
– douce tristesse,
tu fais briller
dans l’ombre même
la flamme d’être.
22/12/17
...
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